1. Job d'été, jeu d'été (6)


    Datte: 18/10/2017, Catégories: Partouze / Groupe

    ... cuisine pour boire une gorgée d’eau. David retire son sexe d’entre mes cuisses. Je ne me suis pas beaucoup occupée de David. Il n’a pas l’air de s’en plaindre, mais tout de même. Je me retourne vers lui, avec l’idée de me rattraper en lui procurant une sacrée fellation mais, quand je le vois un préservatif à la main (d’où le sort-il ? Il doit vraiment avoir bien prévu son coup pour en avoir un dans l’instant !), je comprends qu’il a envie d’autre chose. Ça tombe bien, moi aussi. Je lui propose de me positionner en levrette, mais il me dit qu’il a une autre idée. Il m’invite à me mettre « comme en levrette », mais le corps sur la robuste table basse, et les bras dans le dos. Pourquoi pas. Je m’installe. Il se glisse dans mon sexe et se laisse aller à un soupir/gémissement d’aise. Il y va doucement d’abord, puis accélère. Il me dit qu’il est jouissif de se gaver dans ma chatte toute serrée. Il me fait mouiller encore plus. Il tient mes mains, dans le dos, imprimant une légère tension, très agréable, dans l’ensemble de mon corps. Cette contrainte me plaît beaucoup. J’aime sentir, que d’une seule de ses mains, il est capable de maintenir bloqués mes deux poignets. De l’autre main, il caresse mon anus, sans tenter la pénétration. Je le laisse faire et gémit de plaisir. Didier a raison ; il est temps que mon chéri rentre, j’ai terriblement envie de me faire enculer. Didier est revenu. Il s’installe de façon à ce que je puisse recommencer à le sucer, dans la position dans laquelle ...
    ... je suis. David, très excité, étouffe des grognements. — Tu es vraiment bonne, tu sais ? Avec le sexe de Didier dans ma bouche – que le bougre ne se prive pas de fourrer aussi loin que possible dans ma gorge –, je n’ai l’opportunité de lui dire que je n’apprécie pas beaucoup le terme, même si je comprends le compliment qu’il cache. Il grogne et gémit. Il ralentit et souffle. Je comprends qu’il se concentre pour ne pas venir. Joueuse, je décide d’onduler le bassin davantage, pour le pousser dans ses retranchements. Il se retire prestement. Je suppose que mon stratagème était sur le point de fonctionner mais qu’il l’a ainsi déjoué. C’est en l’entendant grogner et en sentant son sperme chaud gicler dans mon dos que je comprends que je lui ai fait l’effet escompté. Je continue à sucer Didier. David soupire à de multiples reprises puis se lève, va chercher des mouchoirs et m’essuie le dos. Il me dit : — Tu es vraiment, vraiment bonne. Didier, le sourire dans la voix, lui répond qu’il l’avait bien prévenu... Tandis que David rit en admettant qu’il n’eût pas menti, j’interromps la fellation en cours et regarde Didier fixement, un sourire en coin. Il pense d’abord que je veux passer à autre chose mais mon immobilité le frappe. Il me demande si tout va bien. Je réponds que oui. Je me lève, enfile ma robe. Je demande à David un verre de soda. Il nous regarde l’un et l’autre, alternativement, à plusieurs reprises. Il ne perce pas le mystère de ce qui vient d’arriver donc nous quitte, avec ...