Eté au Grau du Roi
Datte: 18/10/2017,
Catégories:
fh,
ff,
vacances,
plage,
pénétratio,
fbi,
... Elle obéit, comme sous hypnose, Béatrice l’attire dans le lit contre elle et l’enlace. Toutes deux s’unissent pendant que Patrick se relève pour mieux voir cette scène inhabituelle pour lui. Elles déploient toutes les variantes de l’amour lesbien. Elles l’ont oublié semble-t-il. Mais ce spectacle a réveillé les ardeurs du mâle, il vient s’allonger dans le dos de Dorothée qui se trouve prise en sandwich. Les filles amorcent un double cunnilingus, le sexe tendu vient se placer entre les fesses féminines. Une main le saisit et amorce un va-et-vient entre ce morceau et la fente humide. Puis elle met en place le sexe. — Il va te baiser, tu verras comme c’est bon.— Je ne veux pas la blesser, proteste Patrick.— Ne t’effraie pas elle a absorbé des godemichés bien plus gros que ta queue. Et il s’enfonce dans une grotte bien humide qui se resserre un instant à son entrée. Béatrice continue son activité buccale sur clitoris pendant que sa main vient masser les testicules. Patrick s’active, Dorothée gémit, les mains masculines viennent enserrer ses seins, les masser. Et l’homme se vide dans le ventre accueillant. Ils sont restés tous les trois, longtemps unis, la nouvelle venue entre ses amis. Puis ils sont allés se laver. — Patrick, va dans le divan, a ordonné la maîtresse de maison. Il a accepté d’autant plus volontiers qu’il se sent vidé. Il préfère ne pas songer à ce qu’il ferait s’il restait auprès d’elle. Le réveil a sonné, les filles se sont affairées, se dépêchant pour aller au ...
... travail. En partant elles sont venues l’embrasser amicalement, Béatrice souriant malicieusement. Et le soir, c’est avec beaucoup de plaisir qu’il les a vues revenir. Pour toutes deux, baiser sur les lèvres, mais sans rien de sensuel. Comme un geste pour lui dire, tu es notre homme, tu nous appartiens. L’atmosphère est détendue devant le repas simple mais parfait qu’il leur avait préparé. Au moment d’aller au lit, Patrick se demande comment aller se répartir les couches. — Je ne pourrais pas te satisfaire totalement aujourd’hui, car « ils » sont arrivés, indique Béatrice. Le « ils » en question, impose l’abstinence pour l’intéressée. — Mais à toutes les deux, j’espère que nous trouverons de quoi te satisfaire. Et tous trois sont allés dans la chambre. Ils se sont caressés, de toutes les manières possibles, et il a baisé Dorothée pendant que leur copine les caressait. Et c’est elle qui est allée coucher sur le divan. ******* Patrick n’a pas beaucoup vu sa sœur. Il lui a raconté la version, expurgée, de son séjour. Elle s’est réjouie de le voir si heureux. Cela a été une semaine merveilleuse. Aimé, choyé par deux filles sensuelles, ce fut le paradis. Mais tout a une fin. Lors du dernier repas pris ensemble, il a posé une question délicate à Dorothée. — Alors, tu as pris goût aux hommes ?— Non, j’ai voulu te remercier. J’ai pris beaucoup de plaisir mais parce que j’avais une femme avec moi. Je n’ai pas viré ma cuti, je me languis de retrouver Chloé.— C’est dommage, mais tu peux ...