Contrôle de gendarmerie musclé (2)
Datte: 12/11/2020,
Catégories:
Lesbienne
... remarquer tout de même que je ne suis pas le jouet de toute la brigade, malgré le plaisir qu’elle me procure. Je reçois une fessée puissante qui augmente encore plus mon excitation. Elle m’indique dans le même temps que je ne vais pas avoir le choix. xmccdj Après tout, je n’ai pas de compte à rendre, car à la fin de cette histoire, je vais me séparer de Martin. Elle reprend donc son cunnilingus dans les règles de l’art puis enlève son uniforme. Elle est à présent nue, et je confirme mes propos précédents. C’est effectivement une belle femme. Un peu carré des épaules, une poitrine généreuse, cent F, je pense et un fessier musclé qui tient bien dans la main. Elle positionne ses deux jambes de part et d’autre de ma tête. Et nous faisons alors un soixante-neuf. Je parcours l’ensemble de son sillon. Je lui lèche les lèvres, plonge ma langue dans son vagin, titille son anus, glisse deux doigts dans ses entrailles pour la faire faillir. Elle fait de même avec moi. Cette action me procure beaucoup de plaisir. Sauf qu’elle met trois doigts dans mon puits d’amour qui ne cesse de s’élargir. Je sens que mon bassin convulse, Madame Paola s’arrête, et laisse jaillir des jets de cyprine. Nous nous redressons, puis nous nous câlinons un instant quand soudain, nous entendons le bruit ...
... d’une fermeture éclair. Monsieur Rodrigue se lève, et sa collègue l’invite à obtenir sa récompense. Je comprends très vite où il veut en venir puisqu’il présente son membre devant ma bouche. J’ouvre la bouche timidement, et dans le même temps, je reçois une fessée de plus de la part de Madame Paola. Forcément en criant, j’ouvre mes lèvres, et il entre sans aucun souci. Je lui fais alors une fellation, il ne se prive pas de me palper les seins, par la même occasion. D’ailleurs, il ne tarde pas à me faire une branlette espagnole. Sa collègue me dit qu’il fantasme beaucoup sur les poitrines. Ce que je constate assez rapidement puisqu’il jouit abondamment. Madame Paola n’en manque pas une goutte puisqu’elle lèche le sperme avec gourmandise. Nous sommes tous les trois en sueur et on se rhabille. Nous sommes à présent arrivés à la brigade. Martin est emmené en cellule de dégrisement et est officiellement en garde à vue. De mon côté, je découvre la brigade et le bureau des trois officiers. Et je confirme les propos de Madame, puisqu’il y a des sous-vêtements d’accrocher au-dessus d’un tableau… Je leur demande à présent si je peux appeler un taxi. Les trois compères me répondent par l’affirmative, celui-ci sera sur place dans trois-quarts d’heure puisqu’il vient depuis Bordeaux…