La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°939)
Datte: 13/11/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
soumises prêtées au Château – (suite de l'épisode N°936) - - Mélanie, je ne peux pas faire ça ! pas avec une femme, je ne suis pas .... je n'ai jamais ....., enfin tu comprends ! et puis quelqu'un pourrait nous surprendre ! - chut Marie, chut ! Me dit elle en me regardant, ils nous ont tous oubliées . Les doigts de Mélanie glissèrent furtivement sur ma peau . Il y avait encore gravé, la marque des coups de fouet de la veille . Elle en parcouru chaque dessin : - Tu ressembles à une œuvre d'art moderne sourit 'elle . Elle s'approcha de moi et me répéta doucement, tendrement, : - j’ai eu envie de toi Marie . Lorsque Walter te caressait, quand tu te tordais sous la douleur du fouet, j’aurais voulu être à sa place, m'occuper de toi, te réconforter de ma bouche, adoucir tes peines de mes lèvres, te rassurer de mes mains . Parce que je te trouve belle et que je te désire . Je frémis d'entendre ces paroles dans la bouche une femme pour une autre femme . Mélanie me regardait, ses yeux magnifiques plantés dans les miens . Elle paraissait sincère . Je le voyais, je le sentais, pourtant j'étais un peu perdue, envahie par des sentiments contradictoires . Ses doigts reprirent alors leur course sensuelle sur moi . Elle continuait de me regarder dans les yeux et elle me caressait . Ses mains montaient doucement, lentement. Elle prit mon visage en leur creux et s'approcha de moi . Je voulu me reculer mais elle maintint sa prise . Continua son approche et ses lèvres, bientôt, se posèrent ...
... sur la peau douce de mon visage . Son visage contre le mien, elle le sentait, le reniflait même, promenant son nez dans mon coup, remontant vers l'oreille comme si elle se délectait de mon odeur, une odeur qui semblait raviver des souvenirs et l’enivrer petit à petit. Quand elle fût tout contre mon oreille, elle me murmura : - La douceur de la peau d’une femme me manque Marie . Tu sais, cela fait bien longtemps que je n’ai pas pus en toucher une et pourtant mon désir est toujours là, grand, présent, tapit, inassouvi : brulant souvenir d'un intense bonheur partagé à deux et à jamais perdu. Je la regardais, la découvrais fragile, j'en fut étonnée . Elle qui semblait si forte, cachait un triste trésor sur son coeur . Je fut émue de sa confidence . Malgré cela ou grâce à cela, elle disait avoir envie de moi, envie de me faire découvrir cet amour là, pur et vrai, entre deux femmes . Je me raidis malgré la douceur de ses caresses et de ses mots tendres . J’appréhendais ce qui allait suivre et pourtant j'étais curieuse de savoir, de découvrir un monde de sensualité qui jusque là ne m'avait jamais attiré . Mélanie releva mon visage pour que je la regarde et me dit : -Ta réticence à mes caresses est compréhensible, parce que cela est nouveau pour toi et que tu penses ne pas désirer les caresses d’une femme. Elle avait gardé mon visage dans ses mains, elle fit glisser ses lèvres lentement vers les miennes pendant qu'une de ses mains entourait ma taille . Elle m’attira à elle . Je me ...