Adeline petite soeur (5)
Datte: 18/10/2017,
Catégories:
Inceste / Tabou
... reposais au sol, lui fit mettre les bras contre le mur, écartais ses jambes et lui replantais mon pieu aussi sec. Je dus mettre une main sur sa bouche pour ne pas la laisser hurler de plaisir. Elle eut un premier orgasme si fulgurant qu’elle envoya un de ses longs jets si savoureux directement sur le sol. C’est dans la seconde qu’elle se retourna, posa ses mains sur ma tête et me fis descendre vers cette fente trempée qui n’attendais plus que ma langue. Je la savourais, récoltais le jus de cette fleur unique et magnifique, la léchais jusqu’à ce qu’elle jouisse encore une fois en m’éclaboussant le visage. Elle me plaqua au mur à mon tour et entreprit une gâterie des plus divines à son tour. Elle avalait ma queue en entier tout en tenant et en appuyant sur mes fesses comme pour me forcer à aller encore plus loin. Je posais alors moi-aussi mes mains sur sa tête et imprimais un rythme effréné entre ses lèvres. Je faillis bien jouir, mais mon esprit se rappela à temps que ce n’était pas encore l’heure. Je la relevais brusquement et la plaçais sur la petite table. Allongée sur le ventre, je lui mis les bras dans le dos et replongeais dans sa petite fente. Elle m’arrêta aussi sec et, toujours dans cette furie sexuelle qui nous tenaillais depuis une bonne demie heure, se tourna encore pour me dire : « par derrière, baise-moi le cul ! » Nous étions dans un autre monde, une autre dimension, elle était crue, vulgaire dans ses propos, et moi, loin de m’en étonner répondais à ses appels ...
... sans coup férir. Je pointais donc mon gland sur sa petite rondelle et commençais à y entrer doucement. Elle eut un mouvement de recul mais pas pour y échapper, bien au contraire. Elle s’empala d’elle-même sur ma queue quasiment d’une traite et me relança « je t’ai dit de me baiser, alors défonce moi bordel !! » Je crois n’avoir hésité qu’une seule seconde avant d’y aller franchement, et, sans plus de retenue, lui enfonçais mon pieu au fond des entrailles. Elle tenta d’étouffer ses cris, je lui envoyais alors son tee-shirt, seul chose que je parvins à attraper. Elle mordit dedans alors que j’exhaussais son souhait. Tout en maintenant ses bras dans son dos, je faisais aller et venir ma longue colonne de chair à en élargir son petit anneau. Je poussais le vice jusqu’à ressortir mon gland afin d’admirer toute la quintessence de mon travail de défonce, de cette tâche dont elle m’avait demandé de m’acquitter. Elle eut un autre orgasme, mais cette fois, pas d’arrêt au stand, la course était trop bien lancée et je continuais à la pilonner violemment. De dehors, le bungalow devait donner une sensation de léger mouvement, et même si nos cris n’en étaient pas, un promeneur curieux pouvait aisément comprendre ce qui se passait à l’intérieur. Adeline jouit une fois encore, je vis son corps se raidir puis se relâcher doucement. Mais il fallait en finir dignement, et je la fis mettre à genoux devant moi. Tout comme elle j’employais des mots crus : « Tu ne crois pas que je vais me vider tout ...