1. Séverine, directrice et esclave. (1)


    Datte: 14/11/2020, Catégories: Partouze / Groupe

    ... cette entreprise. Après m’avoir accordé une semaine d’appropriation du poste, le CA a décidé de se réunir à 14h00 pour faire le point sur la situation de la boite et sur les objectifs de l’année. Je suis évidemment attendue à cette réunion et devrai y faire mes preuves. Alors que Virginie œuvre du mieux qu’elle peut entre mes jambes, je n’arrive pas à me détendre et à jouir. Je suis stressée par cette réunion, à la fois du point de vue professionnel et du point de vue sexuel : en effet, c’est la première fois que je rencontre le CA au complet depuis ma prise de poste et je ne sais pas à quoi m’attendre. La main de Virginie, entièrement enfoncée dans ma chatte, finit tout de même par me déclencher un timide orgasme. Je lui demande alors de retourner à son bureau et de m’attendre ce soir à la maison, après que j’eus servi de poupée gonflable à mon Président. J’aurais alors sans doute besoin de réconfort ! Il me reste 3 heures à peine pour me préparer à cette réunion. 14H, salle du conseil, dernier étage. Je suis l’unique femme dans une assemblée d’hommes. A part mes deux nouveaux collègues masculins présents, il n’y a que des élus, mariés et âgés (entre 55 et 70 ans). Mes ongles viennent frapper en rythme la table sur laquelle sont entreposés une pile de documents contenant chiffres, colonnes et graphiques. Presque tous me dévisagent : certains m’ont déjà baisé et les autres savent que je suis la pute du Président et qu’eux même peuvent me prendre quand ils le souhaitent. ...
    ... Parmi ces derniers, un ou deux papy conservateurs ne semblent pas vouloir se servir de moi de cette manière mais, du coup, me méprisent au plus haut point. Seuls mes deux nouveaux collègues, embauchés après le départ de mon ancien directeur et la nomination de Virginie en tant qu’adjointe, ne connaissent pas ce côté de ma personnalité. Mais ce qui me fait stresser, c’est le retard d’un vice-président. Je m’excuse donc auprès des personnes présentes et sors de la salle de réunion pour aller à sa rencontre en me disant qu’il s’est peut être trompé de salle. Je le croise finalement dans un couloir : — Ah, vous voilà, M. Martin ! Tout le monde vous attend… — Je vous cherchais aussi, Séverine, me répond-il en me serrant la main. J’ai quelque chose pour vous. Il sort alors de sa mallette un plug anal, un gros modèle, en plus. L’objet, outre le fait qu’il soit fait pour m’écarter l’anus, est assez joli et design. — Vous… Vous ne voulez quand même pas que je m’enfile ça avant la réunion ? — Si, j’avoue que c’est ce que je veux ! — M. Martin, je sais que vous adorez jouer avec moi et mes orifices mais je ne suis pas une poupée gonflable, non plus. Il me faut un minimum de préparation et d’envie pour m’enfoncer ce truc ! Et nous sommes déjà retard… Mais je n’ai même pas le temps de finir ma phrase que l’élu me plaque contre le mur du couloir, me retourne me soulève ma mini-jupe. Je soupire d’exaspération mais je n’essaie même pas de contester. Cet élu est un de mes « habitués », un des ...