Les fraises de Dordogne
Datte: 18/10/2017,
Catégories:
fh,
fplusag,
jeunes,
inconnu,
vacances,
autostop,
volupté,
Oral
pénétratio,
... travers de petites forêts. — Je roule depuis trois heures et j’aimerais me dégourdir un peu les jambes. Ça ne vous ennuie pas ? J’aurais aimé le faire au bar mais vous l’avez vu, c’était difficile…— Non, bien sûr ! Elle n’avait pas tort. Nous avions pris un café en terrasse mais la route départementale passait devant le bar : pas question de se dégourdir les jambes. Elle a roulé encore un peu, puis s’est engagée dans un chemin forestier sur la droite. En fait, ce chemin débouchait sur un champ de fraises qui avait été récolté et qui était entouré par une large de bande de bois. Nous sommes descendus et nous avons marché le long du champ en plein soleil, ce qui nous a incité à nous enfoncer dans la forêt qui était peu dense. Au bout de quelques minutes, un petit rond de mousse en mi-ombre mi-lumière nous donna à tous les deux l’envie de nous asseoir. Elle resta assise. Peut-être pour la tester, je m’allongeai sur le ventre appuyé sur mes coudes. La principale question qui traversait mon esprit à ce moment-là était de savoir si je serais éventuellement à la hauteur. Certes j’avais une copine mais j’étais encore bien peu expérimenté et je craignais que l’excitation trop forte me fasse éjaculer trop vite si les choses devaient en arriver là. Après quelques minutes elle s’étendit sur le dos. — Qu’est ce qu’on est bien ici ! Elle était au soleil, malgré les branchages. Elle se faisait chauffer, comme un lézard. Sa robe était remontée en haut de ses cuisses. Je crus utile d’aller ...
... me détendre un peu. — Attendez-moi ! J’avais remarqué quelques fraises abandonnées par les cueilleurs. Je pris mon temps pour me calmer et lui choisir de beaux fruits que je lui offris. Je luis fis manger la dernière, alors qu’elle était encore allongée, en la tenant par la queue. Puis un long silence se fit. J’avais un brin d’herbe dans la main. Je le lui passais sur la joue, le front, le cou. Cela la faisait rire. — Ça me chatouille…, dit-elle, les yeux toujours fermés. Alors je franchis mon Rubicon. Le brin d’herbe descendit sur ses bras, traversa l’océan de tissu sur son ventre et arriva sur ses jambes en frôlant ses cuisses au passage. Instantanément son sourire se figea. Sa bouche resta bée. Sa respiration s’accéléra brutalement puis s’arrêta et je remarquai que son ventre s’était creusé. Je décidai de continuer et de remonter doucement le long de l’intérieur des cuisses. Je me rendis compte qu’elle était tendue quand je vis ses cuisses se détendre et s’affaisser sans s’ouvrir. J’ai marqué une pause et j’ai entendu: — Continuez, c’est agréable, ça me détend. J’ai continué dix bonnes minutes mesurant à ce moment-là l’abîme qui sépare la main du brin d’herbe. J’ai calculé d’appuyer ma main sur sa cuisse tout en continuant la caresse au brin d’herbe. Elle ne dit rien, bien au contraire, ses jambes assez serrées jusque là amorcèrent un début d’écartement, juste assez en tous cas pour passer ma main. Je continuai. À un moment, la pulpe de mes doigts frôla sa culotte. Elle se ...