Mon patron me baise
Datte: 16/11/2020,
Catégories:
Anal
Gay
Première fois
« Mon patron me baise »Depuis un mois je travaillai chez un architecte. Le bureau se trouvait chez lui, le travail était varié, et me plaisait beaucoup. Mon patron « Alexandre » était assez occupé, mais sa position de célibataire lui permettait de faire de longues journées.Nous étions en fin d’après-midi, quand il m’appela pour me demander de sortir le dossier Marek- Ne bougez pas je viens le consulter.- A peine avais-je sorti le dossier qu’il arriva dans mon bureau.- Il se mit derrière moi et commença à le lire par-dessus mon épaule.Je trouvai cela un peu curieux, mais peu important. Sa main se posa sur mon épaule, puis lentement glissa dans l’échancrure de ma chemise. Malgré la surprise, je ne bougeai pas. En l’absence de réaction de ma part, sa main descendit plus bas et frotta mon mamelon. C’était une découverte, car malgré son célibat je n’avais jamais pensé qu’il put être homo. Quand à moi, cette situation me ramenait 10 ans en arrière. Âgé alors de 15 ans, j’avais passé plusieurs années en internat. Après l’extinction des feux, nous étions plusieurs à échanger des caresses avec un petit copain. Pour ma part, presque tous les soirs je me glissai dans le lit d’un camarade. Les caresses s’enchaînaient, nos bouches se soudaient, nous caressions chacun le sexe de l’autre. Puis quand l’excitation était à son maximum je me glissai plus bas. J’adorai sucer les bites jusqu’à ce que le plaisir des jeunes mâles se répande dans ma bouche. Avec ce genre de talent, je ne manquai ...
... pas d’amis. Malheureusement depuis cette période bénie, je n’avais jamais fait de rencontres. J’avais eu quelques filles, mais bien qu’ayant éprouvé du plaisir avec elles, j’étais toujours resté sur ma faim.Les caresses de mon patron avaient d’un seul coup ravivé ces délicieux souvenirs. Amusé, je le laissai faire. Sous ses doigts habiles mon téton s’était durci. Les yeux clos je goûtai avec délice ce moment. Voyant que je ne réagissais toujours pas, il s’enhardissait, déposant des petits baisers sur ma nuque. Cette fois je tournai mon visage vers lui et tendis mes lèvres. Aussitôt il m’embrassa. Je fourrai ma langue dans sa bouche et jouai avec la sienne. Sa bouche avait un délicieux goût de fruit. En même temps sa main était descendue vers mon pantalon et me frottait l’entrejambes. Je bandai déjà. C’en était trop pour moi. M’arrachant à son tendre baiser je tirai le zip du jean et baissai son slip. Aussitôt son sexe en jaillit dressé comme un minaret. La queue se balançait juste devant mes yeux. Je n’eus que quelques centimètres à franchir pour la prendre dans ma bouche. Il se mit à soupirer. Lentement je me mis à aller et venir sur le sexe tendu. C’était trop bon. Il y avait tellement longtemps que j’en avais oublié le goût. Chaque fois que ma bouche se retirait je voyais le sexe humide couvert de ma salive. J’avais rapidement retrouvé mes talents de suceuse pour le plus grand plaisir d’Alexandre. Sa main se posa sur ma tête, puis il se mit à la faire aller et venir sur sa ...