Les ouvriers
Datte: 16/11/2020,
Catégories:
Anal
Partouze / Groupe
Sexe Interracial,
... entendaient tout, et qu'ils me faisaient faire à la lettre ce que disait mon mari... Très vite je sentis les caresses avides de ces hommes, sous les directives de mon mari qui ne se doutait de rien et croyait jouer seul avec moi.-"Oh non, pas tous ensemble, non..." m'exclamais-je avec une certaine roublardise.-"Tu aimes hein, petite pute! Ils sont partout, ils t'ouvrent les lèvres, ils te caressent la chatte."-"Oh, ils m'écartent les fesses, ils me caressent l'anus, oh j'ai honte, je ne veux pas, noonnn..."-"Oui, continues, dis moi ce qu'ils te font, passe toi la langue sur tes lèvres."-"Ils sont en train de se déshabiller, oh non, non, je ne veux pas, dis leur de partir, ils sont nus, ils sont monstrueux, ils ont de ces bites!... noonn."-"Oui, j'aimes quand tu parles comme cela, continues ma salope, très grosses leurs bites? Ca t'excite? Ca te plaît hein salope!... Tu vas les branler dis, ils sont autour de toi?"-"Oui, ils sont là, ils veulent que je les touchent, ils se caressent sur mon visage."-"Mets toi sur le dos, tu en branleras un de chaque coté du visage, et le troisième vas se branler entre tes nichons."Docilement, je me mis sur le dos, la tête au bord du lit. Les trois salauds, sans bruits se mirent qui entre ses seins, qui de chaque coté de mm tête, la bitte raide au dessus de son visage. Vicieusement, j'empoignai ces deux bittes et me mis à les lécher et les branler en cadence pendant que le troisième empoignant à pleine mains mes nichons, y plaçait sa bitte ...
... bien au chaud...-"Fais comme si ils étaient là, j'aimerais t'entendre les sucer."Ce ne me fut pas difficile de le satisfaire car de la façon dont je les suçais, à fond, avec une avidité qui moi même m'étonnait, il aurait eu du mal de ne pas entendre... J'y prenais un malin plaisir, les avalant puis les branlant, essayant à tout prix de les faire gémir, mais ceux-ci pris au jeu, faisaient des efforts pour ne rien dire, pour ne pas gémir et ainsi ne pas trahir leur présence auprès de mon mari qui assistait ainsi à son propre cocuage sans même s'en douter!...-"Oui" me disait-il même, "Tu aimes hein, tu les suces à fond, il se branle entre tes seins, maintenant ils vont te prendre par tous tes trous."-"Non, je ne veux pas, ils sont trop gros, ils vont me déchirer. Ils ont de si grosses bites! Si tu les voyaient..."-"Ah oui, si je les voyaient..." soupira t-il, "Mais non, allez, installes toi sur le premier, prends sa bitte, enfonces là toi dans ta chatte, tu aimes hein te faire pénétrer par une grosse bien raide."Usant de mille précautions pour ne pas trahir leur présence, le premier s'installa sur le lit, la verge dressée, et me fit signe de l'enjamber. Il me regarda m'enfoncer sur son gros pieu dressé; les yeux fixés sur ma chatte humide et chaude; heureux de pouvoir baiser une bourgeoise, de voir sa grosse bite s'enfoncer dans le con d'une femme "bien", d'une femme mariée, la femme d'un patron, d'un "riche"... Le plus vieux s'approcha alors de ma bouche pour se faire sucer... Ca ...