1. Ma cousine Lucie


    Datte: 28/06/2017, Catégories: fh, Inceste / Tabou vacances, douche, Oral pénétratio, fdanus, fsodo, init, journal,

    J’ai passé une enfance heureuse, même si mes parents m’ont confié aux bons soins d’un pensionnat chrétien, catholique de surcroît, j’ai néanmoins eu un léger sentiment d’abandon. Toutefois, cela n’a pas entaché ma vie pour autant. C’était toujours un déchirement de quitter le foyer familial le dimanche soir pour rejoindre le dortoir de l’institution. Imaginez, soixante potaches entassés dans une pièce aussi grande que notre salle à manger. Mes parents possédaient une grande maison de trois étages, une salle de bain et WC par étage, aujourd’hui, ils vivent en appartement. Je n’étais pas à franchement parler un modèle d’enfant, studieux et calme, au contraire je me tenais juste dans la moyenne et je perturbais de temps en temps la classe et la sérénité familiale. Je venais de satisfaire aux épreuves du BAC. De bonne heure et de bonne humeur, ma mère m’accompagne au lycée pour consulter les listes des heureux élus, mon nom figurant parmi les titulaires de cette feuille de chou. J’allais donc pouvoir poursuivre des études supérieures. Aussi pour fêter l’évènement, mon père organisa un dîner de famille, je le savais fier de son fils, lui qui se désespérait de me voir un jour faire des études, il fut rassuré, je devenais de surcroît, un futur universitaire. À cette occasion, papa avait réuni quasiment tous les membres de notre famille, au plus profond de mes souvenirs, nous ne devions pas être moins d’une quarantaine de personnes. Cousins, cousines, oncles et tantes vinrent me ...
    ... féliciter, me couvrant de bisous et de présents, il faut le dire, chez nous, tout le monde était généreux. Mais ce qui me fit le plus plaisir à cet instant, fut le baiser de ma cousine Lucie, qui de sa bouche avait couvert une partie de ma bouche, éveillant en moi, une sensation, tout comme celle que j’avais ressentie deux jours avant cette fête organisée… Le facteur avait apporté une lettre à l’intention de mes parents, porteuse de bonnes nouvelles, la missive annonçait, officiellement que j’avais été reçu au BAC. La journée avait été habituelle et je m’étais couché de bonne heure, d’ailleurs je ne mangeais jamais avec mes parents, mais bien avant eux. Mon père m’avait assuré d’une surprise et je mis longtemps à m’endormir, cogitant sur la surprise annoncée. Il faisait chaud dans ma chambre du dernier étage et je dormais toujours en slip propre après avoir pris une douche, un reste d’éducation de ma mère, scrupuleuse sur l’hygiène, que j’observe encore à ce jour. Très satisfait d’avoir obtenu ce diplôme, il me manquait néanmoins une chose pour être totalement heureux : une copine officielle. J’avais eu quelques relations amoureuses, tel un papillon, j’avais aussi butiné quelques fleurs et je souhaitais me fixer. J’avais des vues sur Élodie, une jeune fille de mon âge, qui venait faire le ménage chez mes parents, deux fois par semaines. Il me tardait d’ailleurs de lui annoncer que j’étais un bachelier, on ne sait jamais, cela peut, dans un premier temps, impressionner, quoique ...
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