Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (4) : un couple pas comme les autres.
Datte: 17/11/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Cette première nuit avec Philippe allait influencer ma vie plus que je ne l’imaginais alors. Quelque chose avait changé : j’étais amoureuse, j’avais rencontré celui avec qui je voulais partager ma vie. Pour la première fois, un homme ne me considérait pas uniquement ou principalement comme un objet de plaisir, une femelle insatiable qu’il fallait satisfaire, mais une femme que Philippe adorait, à qui il donnait à chaque moment les preuves d’un amour sans limites. Je me disais qu’après toutes ces années de vie sexuelle débridée, de plaisirs sans limites, il était temps de me « caser », de m’assagir. Je me devais d’être fidèle à un tel homme, et puis tant pis si sa queue ne m’apportait pas autant de plaisir que les amants vigoureux que j’avais collectionnés. Sa tendresse, ses baisers, ses lèvres sur mon corps, devaient, pensais-je, me suffire. Avec Philippe, je connaissais le plaisir, certes sous d’autres formes que le coït « classique » Nous pratiquions régulièrement le fist-fucking et mon chéri était devenu un expert. Après une longue préparation avec des godes, je lui ai même demandé de me fister l’anus. Ce fut douloureux, mais j’avais trouvé auprès de lui un autre moyen de jouir, chassant ma frustration de ne pas être remplie par un mâle vigoureux. Aussi incroyable que cela puisse paraître, je décidais, à partir de là, d’être fidèle, de ne plus fréquenter d’autres hommes et même d’avoir des relations saphiques. J’étais à Philippe et rien qu’à Philippe. Dans les réunions ...
... que je continuais à fréquenter, mes collègues ne comprenaient pas ma transformation. Philippe avait changé d’affectation, j’étais donc seule, même s’il venait, à chaque fois qu’il le pouvait, me rejoindre. Je m’habillais désormais de façon très classique, réservant à mon homme le port de mes tenues sexy qui le rendaient fou de désir. Je repoussais les sollicitations des autres. Quelquefois ça s’est mal passé, comme avec Hans, mon collègue allemand, particulièrement bien membré et qui, quelques mois auparavant m’avait traité comme une pute, me faisant sortir de réunion en posant une main sur mes fesses en signe de possession, avant de me conduire aux toilettes hommes où mes hurlements de plaisir s’entendirent jusque dans la salle. Hans tenta de me coincer lors d’une interruption de séance, en m’entrainant de force dans un coin reculé. • Olga, ça suffit maintenant. Tu joues à quoi ? Ne me dis pas que Philippe te satisfait ou qu’il te suffise ! Allez, laisse toi faire, on va le faire cocu ! • Laisse-moi ! • Pas tant que je ne t’aurai pas sauté, petite putain ! Il se mit à ouvrir mon chemisier, à passer sa main sous ma jupe. • Depuis quand tu portes un soutif et une culotte ? Il se mit à caresser mes seins, et enfonça un doigt dans ma chatte. • Je savais que tu avais envie, tu mouilles ! Il suffit de te forcer un peu et tu cèdes à l’appel du mâle. Il prit ma main : « Touche, je sais que ça te fait envie, je vais te baiser ici, te faire hurler que chacun sache que tu es toujours la ...