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Annette
Datte: 19/10/2017, Catégories: fh, fplusag, fagée, extracon, alliance, grosseins, poilu(e)s, entreseins, Oral
... sourit. Nous nous relevâmes. Je la pris par la taille et je l’invitai à s’asseoir sur le canapé juste derrière elle. Il faisait chaud. Elle était maintenant assise, et moi de debout face à elle. Je m’accroupis entre ses deux cuisses. Annette était toujours vêtue de sa petite culotte en dentelle bleue. Lentement, j’ai entrepris de lui ôter son dernier vêtement. À ma grande surprise, elle s’est laissée faire. Sa culotte était trempée, signe de son excitation. Une fois celle-ci entièrement enlevée, Annette écarta les jambes. J’avais une vue splendide sur sa chatte abondamment poilue. On voyait qu’elle s’entretenait, car ses poils étaient parfaitement taillés. Je commençai à lui caresser l’intérieur des cuisses. Elle attrapa mes bras afin de me rapprocher d’elle. Je lui fis signe de se remettre au fond du canapé. Elle fut un peu surprise et ne comprit pas tout de suite mes intentions à son égard. Lorsqu’elle vit mon visage approché de son antre humide, elle eut un léger mouvement de bras. Elle stoppa net lorsque ma langue vint au contact de ses grandes lèvres mouillées et poilues. Elle poussa un petit cri de plaisir et de surprise. Elle m’expliqua plus tard qu’aucun homme ne lui avait jamais mangé la chatte. Elle me dit aussi qu’elle avait eu un peu peur de sa réaction et de la sensation que cela allait lui provoquer. Il ne fallut pas longtemps pour qu’Annette soit complètement envoûtée par le traitement que j’étais en train d’infliger à son abricot maintenant tout boursouflé. ...
... Moi qui était un adepte du cunnilingus, c’était un véritable plaisir tant l’antre d’Annette était chaud et humide. Peu à peu, elle qui ne faisait que subir au départ, elle devint plus active, ondulant son bassin au rythme de mes coups de langues plus ou rapides et appuyés. Après quelques minutes, Annette, qui avait posé ses deux mains dans mes cheveux, fut au bord de la jouissance. Sa chatte était de plus en plus humide. Ses petits cris de plaisir se transformaient petit à petit en râles de plaisir. Je m’affairais toujours plus à lui fouiller chaque recoin de son intimité. J’avais pris l’initiative de poser chacune de ses jambes sur mes épaules pour pouvoir augmenter encore le rythme du cunnilingus que j’étais en train de lui prodiguer. Elle arriva vite au paroxysme de sa jouissance. Elle plaqua fermement mon visage contre sa vulve bouillonnante. La plus grande partie de mon visage était enfoui dans sa chatte et un immense jet de crypine vint inonder l’intérieur de ma bouche. Elle fut prise d’une sorte de convulsion. Annette ne put se retenir de crier. Heureusement que nous étions seuls et que tout l’immeuble semblait aujourd’hui désert. Il lui fallut quelques instants pour reprendre ses esprits. Je m’étais relevé, alors qu’Annette s’avança sur le bord du canapé en se passant la main dans les cheveux. « Tu m’as donné un plaisir fou » me lança t-elle. « Viens, je veux que tu me prennes, là, maintenant. Je veux te sentir en moi. Je veux que tu jouisses en moi ! » Elle attrapa mon ...