Le Village en folie (8)
Datte: 19/11/2020,
Catégories:
Lesbienne
... insupportable ! — Je vais mettre d’la ‘p’tite vache’ (Nda : poudre de bicarbonate de soude de marque ‘Cow Brand’) dans ton eau. C’est très adoucissant comme effet. » Le bain ayant été préparé : « Tu ne me laisses pas seule ? demanda Cathy, prête à se dévêtir devant le bain chaud qui l’attendait. — La consigne d’Alicia est claire, ma belle fille : pas question. De plus, si tu n’as pas d’objection, je profiterais moi-même du traitement. — Oh ! T’as des petits problèmes à cet endroit, toi aussi ? demanda la blonde. — Oui, tout à fait. Regarde-moi bien : j’ai les hémorroïdes qui me pendent jusqu’aux genoux. — Tu me niaises, arrête donc ! — Ben certain que j’te niaise !Envoye ! Entre dans ton bain ! » Sophie prit place à son tour dans la baignoire, assise derrière sa patiente dont elle pouvait sentir la fraîche odeur provenant de l’épiderme de son cou. Gardant le silence, elles appréciaient chacune ce moment de détente, Sophie ayant au préalable mis une musique douce à entendre. Laissant ses parties sensibles tremper dans cette eau réconfortante, Catherine se frottait doucement les cuisses sous l’eau, ne pouvant quitter des yeux celles de Sophie qui entouraient les siennes. Sentant le souffle de sa nurse dans son cou, elle succomba à une irrésistible envie de caresser les jambes de cette dernière, passant les mains de ses cuisses à celles de l’autre. Sentant le moment propice, Sophie posa ses mains savonneuses sur les épaules de Catherine et entreprit de masser légèrement ses ...
... muscles endoloris par les activités de la veille. La blonde immobilisa alors ses mains sur les membres inférieurs de Sophie. Manifestement, la fille appréciait le doux traitement que lui faisait subir sa thérapeute. Les mains toujours glissantes de Sophie quittèrent les épaules de Catherine et descendirent sur les bras qu’elles contournèrent pour atteindre les seins de celle qui était demeurée silencieuse. Tout doucement, Cathy vit sa poitrine se faire masser par des mains féminines et délicates, faisant du coup pointer ses mamelons également endoloris. « Sophie, qu’est-ce que tu me fais, ma belle ? lui chuchota-t-elle en levant la tête au ciel. — Je te soigne, petite sœur. Ça te fait du bien ? — Tu ne peux pas savoir comment ! Tes mains sont si douces. Pourquoi tu me fais ça à moi, méchante comme j’ai été envers toi ? — Répète-moi ça encore une fois et je te botte le cul, tannante ! On a bien dit que c’était fini, cette histoire ! » Sophie aida Catherine à s’essuyer en l’enveloppant d’une grande serviette. Se trouvant presque nez à nez, chaque fille posa silencieusement son regard dans celui de l’autre, les yeux bleus de Catherine fixés sur ceux, noisette, de Sophie. Les lèvres se rapprochèrent, puis s’effleurèrent. Sophie ferma les yeux et attendit. « Non ! se ravisa la blonde en se détournant rapidement du visage de l’autre. Je ne veux pas de nouveau m’accuser de vous voler l’une à l’autre ! J’ai trop de respect pour toi, Sophie. J’ai encore l’impression que j’ai amené Alicia ...