Jeux dangereux (6)
Datte: 20/11/2020,
Catégories:
Hétéro
... et Fanny. Je suis la seule à avoir eu un copain jusqu’à présent. Et depuis que je suis avec Yann, nos sujets de conversation tournent beaucoup autour de ça. Je ne suis pas encore très expérimentée mais je leur apprends ce que je découvre petit à petit. Et elles suivent ça avec autant d’intérêt qu’un feuilleton télévisé du samedi soir ! Les coquines ! Au bout d’un moment, je me suis dit que le mieux serait peut-être de leur montrer. Je ne vais pas mentir, je le fais plus pour moi que pour elle, car bizarrement ça m’excite d’imaginer qu’on me voit en pleine acte. Et puis je voulais commencer à pimenter un peu notre relation. J’ai donc imaginé un plan. Yann et moi avions déjà évoqué notre envie de dormir ensemble une nuit. Sauf que naturellement, il est interdit aux mecs de pénétrer dans l’internat des filles, et encore moins d’y dormir. Mais on avait une solution. Le frère de Yann, qui a deux ans de plus que lui, est étudiant à la cité BTS à côté de notre lycée. Cela lui permet d’être pion à l’internat des mecs le mardi et le jeudi soir. Un petit boulot bien pratique pour se faire un peu d’argent. Bref, l’idée était que Yann vienne se cacher dans ma chambre juste après l’étude, avant l’inspection de notre pionne. Son frère (qu’il a longtemps supplié d’accepter) le couvrirait et le pointerait présent. Ses camarades de chambres étaient bien sur également de mèche. C’est ainsi que le mardi au soir, Yann était sous mon lit, à attendre l’extinction des feux. Notre chambre est ...
... composée de deux lits superposés. Claire et moi sommes en bas, Manon et Fanny en haut. Ils sont de chaque côté de la pièce. Yann a dû rester caché une bonne heure, avec interdiction de bouger. Je sais qu’il avait la trouille de se faire prendre, mais je sais aussi qu’il était très excité. Dans la chambre tout le monde était au courant de la situation, mais ça n’a pas empêcher mes amies de laisser apparaître quelque partie de leur intimité en revenant de la douche. Je ne doute pas sur le fait que ça a dû beaucoup lui plaire. Une fois les lumières éteintes, il est sorti de sa cachette, s’est mis en caleçon et m’a rejoint. Nous avons parlé à voix basse tous les cinq pendant dix petites minutes puis les filles, apparemment fatiguées, nous souhaitèrent bonne nuit. Mais je savais qu’elles ne dormaient pas, et qu’elles tendaient l’oreille au moindre bruit pour savoir ce qu’il se passait. Yann et moi étions collés l’un contre l’autre. Nous nous embrassions avec beaucoup de tendresse et je commençais déjà à sentir son érection. En essayant de faire le moins de bruit possible, je lui retirai son caleçon et commençai à le branler. Le mouvement sous la couette étant trop peu discret, je décidai d’enlever celle-ci. Yann me chuchota qu’on risquait d’être vus et je lui répondis qu’elles s’endormaient vite et avaient le sommeil suffisamment lourd pour ne pas se réveiller. Mais je savais qu’il n’en était rien. Déjà bien excité, il ne protesta pas. Je dirigeai alors mes lèvres vers son sexe et ...