Tic ! Tic ! - 6
Datte: 21/11/2020,
Catégories:
Humour,
Lesbienne
Mature,
... cette fois... il l’abatte.Un sourire triste aux lèvres, il décida de retourner à sa chambre en attendant des nouvelles. Il déposa son verre, enleva sa robe de chambre et en slip de femme et soutien-gorge, sortit de son salon majestueux pour prendre le grand escalier qui menait au deuxième. Un ministre l’attendait dans son lit, lui aussi habiller en femme et solidement menotter.Paul, un peut plutôtTic ! Tic ! — Tic ! Tic !Je figer près d’un loup noir de Yellowstone naturaliser en me frottant la bite toujours douloureuse à cause des dents du maudit carcajou, se qui ravivait mon érection. Encore ce maudit bruit. J’aurais du prendre une lampe de poche et il devait y avoir des fantômes dans ce musé finalement, car j’avais cru entendre des rires et des voix de femme puis des murmures et des gémissements en plus de se maudit bruit qui semblait se déplacer en me narguant à moins que quelqu’un ne se fût levé, mais j’en doutais. Ça m’avait semblé venir de la gauche en sortant de cette salle, mais maintenant, je n’entendais plus rien. Je pris à droite pour entrer dans une autre salle. Celle-là faisait toute la largeur de la maison et donnait sur la cour arrière du musée. C’était autrefois l’atelier de restauration et il y avait un bric-à-brac incroyable qui s’entassait ici, mais surtout de vieux os de dinosaures. Et soudain, encore ce tic tic, mais derrière moi, dans le couloir. Je lever le casse-tête indien, me préparant a fracassé le crâne d’un rat probablement en reprenant le ...
... couloir. Je crus apercevoir des silhouettes disparaître rapidement, mais sans mes lunettes, je n’y voyais pas grand-chose de loin. Allons voir. J’avançais doucement dans le couloir en voyant mon hombre s’étirer quand je retendis ce maudit bruit derrière moi. Harasser, je retourner dans l’atelier.Encore les fillesMarie avait du empoigner la main droite de la prof pour la ramener sur ses seins et la maintenir la avec l’autre. Ça l’agaçait trop et voulait attendre de se retrouver au lit avec elle. Puis elle risqua un coup d’œil en se penchant vers l’avant sentant ses fesses écraser le ventre de la prof plus petite qu’elle. Paul avait tournée de bord et entrait encore dans l’ancien atelier. Elle voulut enlever les mains de sur sa poitrine, mais son coude gauche s’enfonça dans l’un des gros seins mous de Dorine juste à côté. Celle-ci sourit en se le frottant les yeux coquins. Elle se dégagea finalement des bras de la prof, embarrasser plus que jamais, et elles repartirent.— Pourquoi y a juste moi qui me fais peloter les filles ? Demanda Marie tout bas en souriant.— Parce ce que vous êtes la maîtresse de maison, fit la prof. Les honneurs du premier pelotage entre filles vous reviennent, Madame.— Wow, je suis gâté et je me sens importante.— Té surtout rouge comme une tomate, dit Marie-France en riant. J’ai rarement vu tes mamelons pointer autant. J’en suis jalouse.— Tout comme les miens, murmura la prof. En tout cas, vos seins sont bien ferme Marie.— Je peux toucher, fit l’écrivaine en ...