Nicole, prête à tout (14)
Datte: 28/06/2017,
Catégories:
Transexuels
... le ton de la soirée. Heureusement que Jean-Charles m’avait prévenue que le couple était porté sur le SM. Des cuissardes en vinyle et talons aiguilles recouvrait pratiquement ses bas noirs tenus par une guêpière en latex. Karen avait une poitrine à peine plus volumineuse que la mienne, ce qui me poussa à penser qu’elle aussi devait être une fille comme moi. Mais je n’eus jamais l’occasion de le savoir car son sexe était masqué par un gode-ceinture plutôt imposant. Enfin, son maquillage chargé m’empêchait de lui donner un âge, ne serait-ce qu’approximatif. — déshabille-toi ! ordonna James. Le ton affable et gentil avait disparu, remplacé par un ton autoritaire. J’obéis. Karen présenta son sexe factice devant ma bouche. Je le suçai comme j’avais l’habitude de le faire. James en profita pour se dévêtir à son tour. Il prit la place de sa femme. C’est à ce moment-là que les premiers coups de martinets commencèrent à tomber. Avec une certaine violence dès le départ, violence qui allait crescendo. James me banda les yeux et plaça un bâillon-boule muni d’un gode sur ma bouche. Si Charlène et Isabelle étaient parfois borderline dans leurs jeux, ils restaient toujours à l’écoute de mes réactions et jamais ils ne franchissaient la ligne blanche. Mais James et Karen la franchirent d’emblée, sans jamais revenir du bon côté. S’en suivit presque deux heures de tortures et de sévices en tout genre, je fus fouettée, frappée, fistée, enculée. Karen se donna du plaisir avec le gode posé sur ...
... mon visage pendant que James me sodomisait sans ménagement. Je fus trainée dans la salle de bains. Le couple ôta enfin mon bâillon et à tour de rôle, vidèrent leur vessie sur moi. Puis Karen m’attrapa par les cheveux et me jeta littéralement sur le palier. Ils m’envoyèrent mes vêtements et mon manteau à la figure. Je me sentais sale, souillée. En pleurs, je passai mon manteau sur les épaules, ramassais mes fringues et descendit les huit étages par l’escalier de service. Je déboulai sur le trottoir, avec le sentiment d’être enfin libérée. Mais l’angoisse m’étreignit aussitôt. Où aller ? Un homme surgit derrière moi et jeta une couverture sur mes épaules. Je criai. — c’est moi Alain. C’est fini ! Je suis là, ma chérie. Je ne fis pas attention au petit mot doux. Il me serra dans ses bras. Son odeur familière me rassura. La pression retomba un peu et je fondis en larmes. — c’est fini. Me répéta-t-il. C’est fini. Toujours dans ses bras, il m’amena à la Jaguar garé à quelques mètres. Tout en gardant la couverture sur mes épaules, il n’enleva mon manteau qui tomba sur le trottoir et m’installa délicatement sur le siège arrière sur lequel je restai prostrée. Il gara la voiture dans le parking de l’hôtel, me reprit dans ses bras et nous montâmes dans notre chambre. Il m’emmena dans la salle de bain, fit couler un bain et me déshabilla. — ils m’ont pissé dessus, finis-je par dire. Ils m’ont pissé dessus. Autant je pouvais concevoir une certaine violence dans les coups, mais servir ...