Un baiser forcé - Histoires de Sexe

Un baiser forcé

... ferveur. C’est si bon de l’embrasser, si bon de la serrer tout contre moi… Beaucoup plus tard, elle s’est relevée : — Je crois qu’il va être bientôt l’heure d’y aller. Les couche-tôt sont déjà rentrés et certains sont même déjà couchés. Si l’on veut avoir quelque public… Tu viens ? Je prends les deux serviettes. Je n’étais pas spécialement rassuré à l’idée de ce que nous allions faire. Elle a opté pour la grande cabine de douche, celle pour handicapés. Elle est rentrée sans refermer la porte et s’est de suite déshabillée en accrochant ses vêtements sur le porte-serviette. J’ai mis un peu plus de temps à rejoindre la tenue d’Adam. Elle me charriait, elle s’amusait en me faisant passer pour un pétochard. — Je crois que cette dois, c’est ton tour de me goûter, dit-elle en se mettant contre le mur et en écartant légèrement les cuisses. Cela fait bien deux jours que je ne me suis pas lavée. Tu va goûter la jeune fille négligée. Une petite touffe de poils soigneusement épilés, c’est tout ce qui lui restait. J’ai posé ma bouche sur son abricot, elle était toute juteuse. — Humm doucement, chéri, n’oublie pas que nous avons toute la nuit devant nous, ne sois donc pas si pressé. Cela faisait maintenant un bon moment que je dégustais sa fève, avec toute l’attention d’un joyeux gourmet, quand j’ai entendu dire derrière mon dos : — Oh, pardon, excusez-moi. C’était un grand barbu très brun qui nous regardait. — Vas-y, continue, bouffe-moi à fond, a insisté Liane, en me prenant par les ...

... cheveux, tout en regardant l’intrus droit dans les yeux. J’ai immédiatement reçu un jet de cyprine sur les lèvres. Cette petite salope venait de jouir, très excitée par l’intrusion de son voyeur. Le gars, au demeurant fort sympathique nous a fait un petit signe de la tête et a cru bon d’ajouter un « Bonne bourre » de circonstance. Il avait pris la cabine d’à côté, il était en train de s’agiter sous sa double. Peut-être en train de se masturber. Cette présence étrangère juste derrière la cloison semblait décupler l’excitation de Liane : — Baise-moi, plante ta grosse tige en moi, j’ai envie que tu me baises comme une pute, se crut-elle obligée d’annoncer très fort, s’arrangeant pour que, malgré le bruit de la douche, le barbu entende tout. Elle se retourna, me présenta ses fesses, saisit ma queue et la glissa dans son fourreau. — Allez, vas-y, PINE-MOI, se mit-elle à crier, tandis que je la ramonais. Tant et si bien qu’un nouveau visage apparut bientôt devant la porte : Une jeune blonde, plutôt bien faite de sa personne qui nous regarda sans rien dire durant un bon moment, bientôt rejointe par une autre jeune femme, une métisse qui se joint à elle pour nous mater. Les deux femmes étaient scotchées devant la porte. Liane les regardait, ses yeux révulsés tournés vers elles, hors d’elle-même, complètement débridée : — Prends-moi le cul, prends-moi le cul, dit-elle bientôt. Encule-moi avec ta grosse pine, prends-moi comme une pute, insista-t-elle. Mais je ne pouvais déjà plus résister. ...