Des camarades de classe (5)
Datte: 23/11/2020,
Catégories:
Gay
... dominateur qui s’accordait bien avec le tempérament de Cyrille. Il n’avait pas oublié la proposition qu’il lui avait faite ; puisqu’il voulait être mis au défi, il le serait. Tout le long du trajet en voiture, il y avait cogité puisqu’il n’avait eu, de toute façon, rien de mieux à faire. Pour l’instant, Philippe labourait le cul de Cyrille avec entrain. Il était debout et le tenait fermement par les hanches. La culotte était sur le sol et Zack reniflait l’odeur que dégageait le tissu rose. Philippe plaisanta sur l’odeur de chienne dont Cyrille avait imprégné le sous-vêtement. Il était vraiment excité par cette réflexion, et chaque coup de reins qu’il donnait projetait Cyrille – qui ne boudait pas son plaisir – en avant. Il sentait qu’il allait enfin jouir. Philippe recula juste avant l’éjaculation. Le sperme atterrit sur les fesses de Cyrille. Avant qu’il ne comprenne ce qu’il se passait, le chien était venu lécher les fesses de l’enculé. En deux ou trois coups de langue rapides, le foutre fut nettoyé. Cyrille restait immobile, figé par cette langue experte qui était passée dans la raie de son cul pour ensuite venir frôler ses couilles. Puis le chien vint faire la toilette de la verge de Philippe. Quelques coups de langue suffirent à donner au membre un début d’érection. Philippe posa son cul sur le rocher et invita Cyrille, toujours un peu désorienté par les caresses buccales et canines, à s’empaler. Cyrille exposait ainsi involontairement sa bite à la langue de Zack. ...
... L’animal s’appliquait et Cyrille ne pouvait que s’abandonner au plaisir. Il se laissait aller, le dos contre le torse de Philippe qui en profitait pour lui pincer les tétons. La jouissance, incontrôlable et d’une incroyable intensité, arriva au pas de charge. Les giclées furent projetées avec force et Philippe n’en revint pas de sentir l’anus de son ami se contracter aussi violemment autour de son membre. Ils se rhabillèrent et continuèrent leur chemin jusqu’à la ferme, avec comme compagnon de route un chien qui ne cessait de renifler l’entrejambe de Cyrille. Celui-ci se demandait comment il allait oser se présenter devant le paysan avec ce chien qui lui tournait autour. ─ Ne t‘inquiète pas, c’est normal qu’un chien qui ne te connaît pas cherche à mémoriser ton odeur. ─ Oui, mais quand même, il ne fait que me renifler le cul ! ─ Il renifle ce qui est à sa hauteur, c’est tout… Ils continuèrent leur chemin, Cyrille tentant d’éloigner l’animal. Philippe appela Zack et le caressa. Il l’attrapa par le collier et le fit marcher à côté de lui, ce qui rassura un peu son ami. Le chemin montait en pente douce, suivant la courbe d’une colline couverte de châtaigniers. Ils firent encore quelques centaines de mètres avant que la voie débouche sur des champs qui s’élevaient de part et d’autre, encerclant la ferme en contrebas. En se retournant, ils pouvaient voir le toit de la maison d’où ils venaient. A vol d’oiseau, les deux bâtiments étaient vraiment proches. Le chemin n’était pas le tracé le ...