1. Séduction délicate de la soeur de ma mère (13)


    Datte: 23/11/2020, Catégories: Inceste / Tabou

    ... coït amoureux, différent de la bestialité habituelle. J’avais son souffle dans ma bouche, idem pour elle et avec un jeu de langues subtiles, Véro comprenait où je voulais en venir. Elle joua merveilleusement le jeu en prolongeant un baiser déjà interminable. Sans échanger un mot, nous baisions amoureusement en le sachant pertinemment. Mon rythme progressa néanmoins, mon sexe se gonflant intolérablement à force de lécher les parois de son vagin. D’une crispation légère, nous terminâmes tendus l’un dans l’autre ne sachant lequel faisait office d’étau. J’entendais son bonheur s’exprimer. — Oui…oui… Gémit-elle en me serrant contre elle, les jambes grandes écartées. — Tu es à moi. Lui soufflai-je en pleine jouissance. — Je suis à toi et je t’aime. Murmura-t-elle entre deux spasmes. — Je t’aime Véronique. En l’embrassant cette fois avec ardeur. — Tu me rends dingue… En me collant ses lèvres délicieuses. Je m’affalais à ses côtés, nous reprenions nos souffles sans commenter nos paroles insensées échangées entre une tante et son neveu. Dans notre ivresse d’une jouissance différente, nous nous étions avoués notre amour respectif. Puis le temps de me faire un smack, elle se leva en restant à poil pour faire un brin de toilette. C’était la première fois qu’elle ne prenait pas la peine de se vêtir et voir sa paire de fesses avec ses jambes fuselées ne furent que pur régal. Il n’était que 22 heures et je décidais de descendre me rafraîchir en m’offrant un coca dans la cuisine. J’étais nu ...
    ... quand j’entendis une voix douce. — Je te cherchais Patrick. Dit-elle en s’approchant pour boire dans mon verre. — Je n’avais pas encore sommeil. En la dévisageant vêtue cette fois de sa chemise de nuit restée ouverte. — J’ai beaucoup aimé Patrick. — Tu n’es pas la seule. — Oui sur ce plan là t’es toujours au top mais je te parlais de ce que tu m’as dit, tu le pensais vraiment ? Intriguée de connaître mes pensées. — Oui je le pensais Véronique et je te l’avais déjà dit l’autre matin, mais moi aussi j’ai du mal à me l’entendre te le dire. — Pas facile de m’avouer que tu m’aimes, tu comprends désormais mes difficultés à me laisser aller avec toi ? Patrick, tu n’oses pas m’avouer ton amour et moi ? As-tu pensé à ma situation vis à vis de ta maman notamment. Tu crois que c’est facile pour moi ? Je commence à admettre l’invraisemblable. M’expliqua-t-elle debout devant moi, hyper sexy, craquante. — Oui tu es plus à l’aise avec moi et au lieu de boire dans mon verre, tu ne veux pas prendre un coca ? — Non je préfère, par contre toi tu aurais pu t’habiller quand même. Tu te promènes nu dans la cuisine devant moi, là ça me gêne un peu et tu n’as pas froid ? — Absolument pas et si ça te gêne, j’en suis vraiment désolé. Affirmai-je en l’attirant contre moi. — Je ne te crois pas, tu n’es pas désolé. N’oublie pas que je te connais bien ! Dit-elle en se laissant peloter son formidable cul. — Tu m’as bien dit que je rendais dingue ? En l’embrassant dans le cou. — Oui. Concéda-t-elle dans un ...
«12...151617...»