1. Séduction délicate de la soeur de ma mère (13)


    Datte: 23/11/2020, Catégories: Inceste / Tabou

    ... ventre. — Que veux-tu…tu n’as pas connu des hommes t’appréciant à ta juste valeur ! Lui fis-je remarquer en me relevant. — Bon mon chéri je vais me coucher mais à ce rythme, si tu veux me mettre enceinte, tu n’auras aucun mal ! Ajouta-t-elle en enfilant uniquement sa robe de chambre. — J’y compte bien… Ma tante me fit un sourire embarrassé même si ce fut elle qui avait encore évoqué le sujet et après un denier baiser, j’entendis ses pas dans l’escalier. En fin de matinée, les enfants n’étant plus là, nous décidions de faire un tour en ville pour y prendre un pot. Le hasard fit mal les choses, nous tombions sur Patricia surprise de ne plus avoir de nouvelles. Véro s’en excusa et lui promettait de la rappeler dans la semaine. Patricia me jeta un petit regard en coin au moment de se faire la bise pour se coller à moi généreusement. Véro à son tour me jeta un regard méprisant au moment de la quitter. — Ah celle-là ! Elle ne peut pas s’en empêcher. S’indigna-t-elle d’un tel comportement. — On va se trouver une petite terrasse et demain, Paris ! — Ne m’en parle pas, je n’ose pas y penser. Et s’il ne veut pas mettre de capote, qu’est-ce que je dis ? — Avant tout, ça te dérange sachant qu’il est vierge ? — Oui un peu et surtout vis à vis de toi. Moi tu sais je ferme les yeux et j’attends que ça se passe. — Premièrement ça ne me dérange pas puisque je l’ai fait sans avec Patricia. — Ah tu ne me l’avais pas dit. — Véronique, pour la dernière fois je n’avais pas le choix et comme nous ...
    ... sommes dans les confidences, si tu t’étais abstenue de commenter nos ébats sexuels avec elle, tout aurait été plus simple et tu vois très bien où je veux en venir. — Excuse-moi Patrick, là j’ai été conne. — Et deuxièmement, tu ne fermes pas les yeux. Tu joues le rôle de sa mère, c’est toi qui a l’initiative. Tu dois lui montrer comment on fait. — Enfin il nous a vus sur scène ! Oh Patrick…j’espère que je vais y arriver sans toi. — Tu y arriveras. Lui dis-je affirmatif. Le lendemain le chauffeur en tenue impeccable nous attendait à la gare pour nous conduire dans un arrondissement huppé de la Capitale. Nous étions proche de la Grande Armée et les grilles s’ouvrirent pour entrer dans une cour de graviers. Très poli, le chauffeur s’occupait de ma tante en lui tenant la porte. C’était une maison de maître imposante, rectangulaire avec un étage et la vigne vierge lui donnait ce charme des vieilles bâtisses. Une fois dans le hall en marbre, l’allemande accourut et fit la bise à Véro, surprise par ce geste. — Vous êtes parfaite ! — Merci. Répondit ma tante dans son tailleur bleu clair avec un petit chemisier blanc ivoire. — Comment vous appelez vous ? Lui demandai-je. — Appelez-moi Hanna, suivez-moi que je fasse les présentations. Dit-elle en longeant le couloir. Je suivais ma tante qui pour la circonstance portait des sous-vêtements. Elle avait une gueule folle de derrière, son cul se dandinant avec sa veste élégante, sur laquelle ses mèches blondes virevoltaient en marchant. Nous ...
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