Vanessa (5)
Datte: 24/11/2020,
Catégories:
Inceste / Tabou
... assaillie par les étudiants de son groupe. Des filles et des garçons lui témoignèrent de l’amitié en lui faisant la bise alors qu’elle ne les avait pratiquement jamais fréquentés. Elle dû leur demander gentiment de la laisser respirer et circuler, mais elle était quand même très heureuse de leur accueil. Son retour à l’université fut donc très agréable. Par contre, elle avait une grande quantité de travail à fournir car elle n’avait pas pu passer les examens du premier semestre et devait se préparer à les passer seule avec ses profs tout en rattrapant aussi les cours manqués du début de second semestre. Néanmoins, elle était motivée et la charge ne l’effrayait pas. Elle était donc d’excellente humeur en rentrant chez elle avec Karine qui conclut qu’elle ne risquait finalement rien d’autre qu’un burn-out à reprendre ses études normalement. Elle aussi était heureuse car elle allait pouvoir s’expliquer avec sa mère et, elle l’espérait, assainir leur relation. Jacques arriva peu après elles chez Odile et Daniel qui, quand à eux étaient, encore au travail. Comme tout le monde dans cette maison, il se déshabilla entièrement dans l’entrée avant d’aller les embrasser dans leur chambre. Elles étaient très studieuses, surtout Vanessa qui commençait à réaliser l’ampleur du travail à fournir. — Ça va les amoureuses ? Ce retour à la fac s’est bien passé ? — Super, merci ! Ils m’ont accordé une dérogation pour passer mes examens en décalé et j’ai quinze jours pour revoir un semestre ...
... entier dont un mois de cours que j’n’ai pas eu. Anne-Lise a dit qu’elle me passera une copie de ses cours et les autres profs aussi mais ça va être chaud. Par contre, tout le monde était content de me voir et une dizaine d’étudiants m’ont passé des copies de leurs notes. Je n’ai plus qu’à m’y mettre. Et puis Kévin m’a dit que ma silhouette avait changé un peu. — Il a raison, tu te féminises, c’est net. — Moi je n’ai rien vu, pourtant je me regarde tous les jours dans la glace. — C’est pour ça que tu ne vois rien et c’est vrai que ça reste encore subtil. — Moi non plus, je n’ai rien remarqué, avoua Karine contrariée. Pourquoi ? — Parce que t’es tout le temps avec elle alors tu ne la vois pas changer. C’est un peu comme les parents qui ne voient leurs enfants grandir que lorsqu’il faut leur acheter de nouveaux vêtements ou de nouvelles chaussures. — Et Papou, t’es toujours prêt pour me la mettre dans l’cul tout à l’heure ? Demanda Karine en lui caressant la bite. Tu as juré, je te rappelle. — Je n’ai pas oublié mais si tu commence à t’occuper de ma queue comme ça je risque de ne plus être en mesure de le faire dans une heure. Odile rentre bientôt ? — Elle ne devrait plus tarder, répondirent en cœur les filles en replongeant le nez dans leurs cours. Odile arriva effectivement dans le quart d’heure qui suivit et, après avoir embrassé les filles, elle alla prendre un verre avec Jacques au salon. — Tu es inquiet ? — Évidemment, elle doit être inquiète aussi. Avoue que, se faire corriger ...