1. L'escalier d'Escher


    Datte: 25/11/2020, Catégories: ff, fépilée, plage, caférestau, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Masturbation intermast, Oral mélo, consoler,

    ... ? Je n’arrive pas à mettre le bustier.— J’arrive tout de suite ! Et c’est au pas de course qu’elle s’approche de moi. — Tourne-toi. Bingo : une fois de plus, elle ne me demande même pas de retourner dans la cabine. En un tournemain, elle m’attache le bustier. Ses mains plongent alors dans mon décolleté et me remontent les seins. Le geste était extrêmement bref et… professionnel ? J’en suis tout de même tout électrisée. — Voilà : c’est comme ça qu’il doit être porté. La poitrine doit être bien positionnée. Tu respireras mieux, et chacune de tes inspirations coupera le souffle de la personne en face de toi. Je note l’utilisation du mot « personne », terme étrangement asexué. Que sait-elle ? Je repense à la lettre de Val, et surtout aux propos qu’elle m’a tenus avant de me la donner. Je suis interrompue dans mes réflexions : — C’est un magnifique choix, Claire ! J’avais réalisé cette pièce spécialement pour moi à l’époque. Ça me fait chaud au cœur que ton choix se soit porté sur elle. En me disant cela, elle me pousse vers les miroirs situés dans la cabine. Nous pouvons ainsi toutes les deux m’admirer. Je n’ai pas d’autre mot pour qualifier nos regards sur mes reflets. — Je vois que tu as suivi un autre de mes conseils. Ce sera très bien pour les prochains essayages. Je pourrai me faire une meilleure idée encore. De quoi parle-t-elle encore ? Ah ! Son regard est fixé sur mon entrejambe. Ouh la la : encore ! J’avais complètement oublié que certains de ses modèles étaient ...
    ... particulièrement transparents. Quand elle va me découvrir en version « petite fille » que va-t-elle penser ? Je rougis. — Dis-moi, que je puisse prévoir au mieux notre prochaine séance, tu as choisi quelle coupe ? Petit triangle ? Ticket de métro ? Kojak ? Je ne comprends pas la dernière référence. Devant mon air interdit, elle ajoute : — Moule à zéro, si tu préfères. J’explose de rire en comprenant l’expression et son origine. Je porte aussitôt la main à la bouche. — Ah, je crois que j’ai vu juste. J’opine de la tête. — Mais c’est parfait ! On pourra vraiment faire parler tous les modèles. Ah la la… Je suis sûre que tu as fait ça rien que pour avoir une augmentation !— Mais…— Je plaisante ! Ne recommence pas avec tes arguments interminables.— Mais… Et c’est reparti ! Je rentre dans le jeu : — Mais… dis-je avec un grand et beau sourire.— Tu… Oh ! Coquine, va. Allez, rhabille-toi quand même avant qu’une cliente ou son amant n’entre. Je profite de l’occasion : — Alors, vous saviez ?— De quoi tu me parles ? Ah oui, je vois. Comment dire… L’an dernier, comme tu le sais, il n’y avait pas la grande glace dans l’arrière-boutique.— Je… je ne vois pas le rapport.— Ah, les jeunes d’aujourd’hui ! Aucune imagination ! Bon, tu vas finir par me mettre en retard ; je ferme tôt, ce soir. En disant cela, elle a le regard qui pétille. Je n’ai peut-être pas beaucoup d’imagination, mais je comprends aussitôt qu’elle n’a pas prévu de terminer seule sa soirée elle non plus. — Je vous souhaite… beaucoup de ...
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