L'escalier d'Escher
Datte: 25/11/2020,
Catégories:
ff,
fépilée,
plage,
caférestau,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
Masturbation
intermast,
Oral
mélo,
consoler,
... s’enlacent tout en douceur, et nous nous serrons fort l’une contre l’autre. — Je te prépare le petit-déj’ au lit, ma chérie ? me demande Val dès que je lui rends l’usage de sa langue.— Oh ! C’est si gentil ! Mais, je préfère t’accompagner à la cuisine. Main dans la main, et bien sûr toujours nues, nous préparons ensemble deux bols de café au lait. Je verse le café, Val s’occupe du lait. Je tiens le pain, elle coupe. Je beurre maladroitement au couteau une tartine ; elle beurre adroitement avec un doigt mon intimité. Le soleil rentre à flots par la porte-fenêtre de la cuisine. — Ouah ! Mais tu as un super grand balcon !— Oui, et presque sans vis-à-vis. Nous nous regardons en riant. Les mots sont inutiles ! Je pose le petit-déjeuner sur un plateau et je rejoins Val qui me tient la porte ouverte depuis le balcon. C’est la première fois que je suis vraiment nue en plein-air. La sensation est divine. L’air, encore un peu frais du printemps qui débute, semble jouer avec mon pubis tout lisse. Je frissonne, mais pas de froid. Nous nous asseyons côte à côte à une petite table de jardin. Nous sommes invisibles au monde extérieur, bien cachées par un mur dans cette partie du balcon. Le soleil réchauffe notre peau. Val pose sa main tout en haut de ma cuisse. Rien de plus. Pas une caresse, juste une douce et chaude présence. Je regarde Val et je lui souris. Tout simplement. C’est instant est parfait. Nous terminons le petit-déj’, qui nous servira en fait certainement de repas de midi. ...
... Val débarrasse la table et me dit de l’attendre deux minutes. Elle rentre dans la cuisine. Je me lève et parcours le balcon, jusqu’à la limite où je pourrais être vue par un voisin. Je fais quelques allers-retours pour le plaisir de la sensation de marcher nue dehors. Je m’imagine ainsi sur la plage, mon bras passé autour de la taille de Valérie. Val me sort de ma rêverie ; elle nous a apporté des serviettes de bain et des oreillers. — Un petit bain de soleil conviendrait-il à Mademoiselle ?— Mmmh. Et qui va me passer de la crème ?— Je me proposerais bien, mais je n’en ai pas. Mince !— Alors, il va falloir que tu te débrouilles avec ce que tu as sous la main ! Je prends une serviette et un oreiller et m’allonge sur le dos, les yeux fermés. J’entends Val qui s’agenouille à côté de moi, sans doute sur l’autre oreiller. Quelques secondes passent. Une main frôle mes seins. Elle est légèrement humide. L’autre main la remplace, tout aussi « mouillée ». Le ballet continue ainsi ; Val soupire de plaisir à chaque rotation de ses mains. Quand elle commence à « étaler la crème » sur mon pubis, je la rejoins dans son concert de gémissements. Rapidement, une seule main reste sur mon sexe, puis dans mon sexe. J’entrouvre un œil : Val nous masturbe à présent toutes les deux. Elle jouit la première. C’est donc avec ses deux mains qu’elle entreprend de me faire rattraper mon retard. Un doigt particulièrement habile me fait pousser un petit cri, pas si discret. J’ouvre les deux yeux sur le ciel ...