1. L'escalier d'Escher


    Datte: 25/11/2020, Catégories: ff, fépilée, plage, caférestau, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Masturbation intermast, Oral mélo, consoler,

    ... tripoter les fesses de sa future ? Le résultat est sympa : le nœud, sans doute fait trop fortement et avec une longueur insuffisante, contraint le slip à rentrer assez profondément dans les fesses de Chloé. Elle essaie d’ailleurs d’améliorer la situation… Hé, hé : sans succès ! Ah, le côté face est pas mal. Là aussi, le nœud maladroit de Karl nous permet d’admirer sa fente nettement dessinée sous le tissu. Chloé se glisse dans une robe de plage, assez courte et laissant apparaître par bon éclairage son maillot de bain ; j’apprécie. J’affirme que tout est parfait et ramasse le sac, non sans avoir bazardé la petite culotte de Chloé. La femme de ménage va se marrer, lundi matin ! Karl et Chloé montent à l’arrière de la voiture ; je constate avec plaisir qu’ils se tiennent la main. Je pose le sac dans le coffre, à côté du nôtre, plus volumineux en raison du pique-nique. Hop, le chemisier et la jupe de Chloé se retrouvent au fond du coffre. Que je suis maladroite, ce soir ! […] Pendant que Val conduit, je lui caresse la cuisse. Tout comme moi, elle porte une petite jupe plissée, bleue marine pour elle, blanche pour moi. Ma main se fait baladeuse et remonte jusqu’au pli de l’aine. Karl, qui est derrière moi, doit voir toute la cuisse de ma bien-aimée. J’espère que cela lui donne envie de faire la même chose à sa promise. […] — Playa ! Val et moi sommes pieds nus ; nous avons enlevé nos tee-shirts et nos jupes et nous marchons, comme à notre habitude, main dans la main. Derrière ...
    ... nous, Karl et Chloé nous suivent à quelques pas. Karl et moi sommes les porteurs de sacs. Je lui ai bien sûr laissé le sac du pique-nique, le plus lourd. La température est élevée ; il transpire rapidement. Ah ! Il se met torse nu. Il me rattrape et place sa chemisette dans le sac. Il rejoint aussitôt Chloé qui se colle à lui. Argh ! Elle a gardé sa robe de plage. Non, c’est bon : elle comprend tout l’avantage du « peau contre peau ». La robe de plage m’est rapidement donnée. Je prétexte un coquillage coincé entre les orteils pour les laisser passer devant nous. Val leur indique qu’il faut encore avancer. — C’est encore loin ? Se plaint Chloé, peu habituée aux longues marches sur le sable.— Un petit kilomètre, quand même.— On serait pas bien là ? insiste-t-elle.— Non ! Réponse univoque de trois mousquetaires, puisqu’avec l’appui inattendu mais bienvenu de Karl. On continue donc notre marche. Val et moi observons attentivement leur façon de se tenir l’un contre l’autre. C’est bon : il y a toujours de l’amour entre ces deux-là. Chloé se met sur la pointe des pieds et glisse un mot à l’oreille de Karl. Il hoche la tête. Toujours bien, qu’il soit d’accord. — Je suis un peu essoufflée ; passez devant, on va regarder un peu le soleil se coucher.— D’accord, Chloé, lui répond Val. On prend bien vingt mètres d’avance avant de nous retourner, juste pour jeter un coup d’œil. Karl est en bermuda de bain, à présent.« Pff, il aurait pu mettre un slip, plutôt. Faut vraiment que je fasse tout ! ...
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