A la découverte d'un monde inconnu. (6)
Datte: 27/11/2020,
Catégories:
Inceste / Tabou
Chapitre précédent Manu reste sous conditions : plus de cachotteries, devoirs de vacances pour le bac ; et pour Manu sport. Les commentaires de Manu lui ont valu un terrible supplice : attaché, prisonnier de Julie qui lui a infligé une violente masturbation pour avoir fait des commentaires sur le physique d’Alice. Chapitre 6 : Câlin maternel Julie n’arrive pas dormir ; le film de la journée se déroule dans sa tête. Ils viennent d’être les acteurs des vidéos qu’ils ont regardées sur Internet. Elle s’interroge : « Maman a dû regarder sur le PC quand on dormait… Non ce n’est pas possible, on se serait réveillé ! Elle a deviné, alors ; pourquoi s’est-elle mise en colère de la sorte ? » Aucune réponse n’émerge de cette réflexion. Le film repasse en boucle. Au fond d’elle même, elle sent l’envie d’en découvrir plus en réel. Elle veut découvrir ce monde inconnu. Son sexe la démange, l’envie de sexe la torture, elle a chaud. Elle se revoit nue sur la table prenant la fessée. Elle se frotte le sexe ; ses entrailles sont en feu. L’autre main prend ses tétons, un à un, les pince, les tord dans tous les sens, malaxe les seins. Elle a envie d’un sexe, d’un sexe d’homme. Elle rentre son doigt en elle. L’orgasme arrive. Il la secoue telle une poupée chiffon, recroquevillée sur elle-même en chien de fusil ; puis les spasmes du plaisir s’estompent, elle a chaud, elle transpire. Elle est perdue ; des sensations étranges l’envahissent. Il lui faut quelqu’un. « Maman ! C’est Maman qu’il lui ...
... me faut ! » Elle veut se faire câliner, elle veut la sentir à côté d’elle, maintenant. « Il faut que je monte. Maman, un câlin maman ! » Elle veut se faire cajoler comme lorsqu’elle était plus petite, quand il y avait de l’orage, blottie contre sa mère, lui massant le dos à travers sa chemise de nuit. Décidée, elle sort de son lit, en sueur. Vite, une douche froide. « Ah ! Que ça fait du bien ! » Tremblante, elle monte l’escalier à pas de loup ; elle est nue, pousse la porte doucement. Un rapide coup d’œil. « Elle dort… » L’unique drap recouvre à peine le corps nu de sa mère ; un bras allongé en travers du lit l’appelle : « Viens, Julie ! Viens ! » Telle une chatte, elle se dirige vers le lit, se glisse sous le drap, pose doucement sa tête sur le bras étendu. Un doux parfum émane du corps de sa mère. Alice est calme. Julie sent les doux mouvements respiratoires. Délicatement, elle pose sa main sur le ventre d’Alice qui ne bouge pas. « Tout va bien ! » Sa main entreprend alors une exploration délicate et minutieuse du ventre musclé ; elle remonte, se pose sur le sein droit. Alice bouge un peu ; Julie se fige, retient sa respiration, attend. Elle est bien blottie contre sa mère ; elle voudrait que cela dure une éternité. Le calme est revenu. À tâtons, sa main trouve le téton, là, juste devant son nez. Machinalement, elle tire la langue. « Trop court ! » Elle avance tout doucement la tête ; elle le touche. « Je fais, je ne fais pas ? » Le bout de la langue timide touche cette ...