1. Balade au bord de l'eau 2


    Datte: 27/11/2020, Catégories: fh, sport, campagne, collection, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme strip, BDSM / Fétichisme Masturbation fgode,

    ... descendre sa main gauche qui titillait ses seins et tenait l’outil en question et la fait glisser doucement. L’objet fait bien 20 cm de long et n’a pas une forme adéquate mais elle le fait habilement glisser sur ses lèvres humides, le remonte à sa bouche et le lèche. L’objet redescend et recommence son ballet entre les lèvres du bas. Puis, miracle, il glisse et entre doucement dans sa chatte, elle écarte bien et pousse par petits mouvements saccadés, comme le ferait le sexe d’un homme. Il entre et sort doucement puis plus rapidement. Son autre main caresse maintenant un point bien précis, je devine le clito durci entre ses doigts pendant qu’elle se gode tranquillement devant moi. Je ne bouge pas et la laisse faire, ma dernière tentative n’ayant pas eu l’air de lui plaire. — Pince mes seins, me lance–t-elle, tu vas me faire jouir… Je m’exécute et maltraite délicieusement les pointes durcies. Elle crie soudain, se contracte, la bombe lacrymo tombe à terre tandis qu’elle jouit. Après quelques instants elle se calme, je libère ses seins et ...
    ... recule. Tranquillement, elle remonte sa culotte et son short, retrouve le tee-shirt tombé à terre. On dirait qu’elle a bu, ses mouvements sont lents et paraissent difficiles à contrôler. L’orage s’arrête et la pluie aussi. Elle me regarde et je retrouve son sourire du début, celui du moment où nous nous étions croisés quelques jours plus tôt. Elle a le regard un peu triste et je devine derrière ses yeux une sorte de mélancolie. Je sais que je ne la reverrai peut-être pas. Je ne sais rien d’elle, ni elle de moi, c’est peut-être mieux comme ça. Nous avions été si proches et si loin en même temps. Elle s’est avancée vers moi et m’a embrassé sur la bouche. Elle n’avait pas sa bombe lacrymo, restée a terre. — Merci beaucoup, me dit-elle, j’ai pris beaucoup de plaisir— Moi aussi… Elle s’apprêtait à repartir en courant, quand j’ai ramassé l’objet qui reposait à terre et portait encore son odeur. — N’oubliez pas ça, on ne sait jamais sur qui on peut tomber, dis-je. Elle a repris l’objet, elle a éclaté de rire puis est repartie, l’orage était fini. 
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