1. Séduction délicate de la soeur de ma mère (8)


    Datte: 27/11/2020, Catégories: Inceste / Tabou

    ... tante. Oscar et Jules, ses enfants prenaient des nouvelles de leur mère. Par la même occasion, ils lui racontaient leurs vacances auprès de leur père. Ils étaient joyeux et heureux de rentrer à la fin de la semaine. Véro discutait dans le couloir, uniquement vêtue de son tee-shirt. Puis ce fut le coup de grâce, quelqu’un avait sonné à la porte. Véro me faisait des grands signes d’aller ouvrir tout en prenant le chemin des escaliers. — Patricia ! M’exclamai-je en l’accueillant. — Ah le joli neveu de ma meilleure copine ! Dit-elle en me faisant la bise. Je lui proposais un apéritif le temps de lui expliquer que Véronique était en ligne avec ses enfants. Nous parlions de choses et d’autres et discrètement je regardais ma montre. Le temps passait et ça n’était pas en ma faveur. De plus Patricia me dévisageait d’une manière insolente pour me poser une question en profitant de l’absence de ma tante. — Patrick, je ne te cache que tu es un garçon attirant et j’aimerais un peu plus te connaître. Serais-tu d’accord pour venir chez moi juste pour prendre un café ? — Euh Patricia, j’ai ma copine. Répondis-je dans la confusion. — Ta copine c’est ta tante ! Tu peux bien m’accorder une après-midi. Dit-elle exaspérée. — Ecoute tu me mets dans l’embarras et je ne savais que tu étais au courant pour Véro et moi. Je te trouve très attirante et j’aurai plus de temps libre au mois d’août. On en reparle après ? — Août ? Mais ...
    ... c’est dans un mois ! Subitement elle quitta sa place pour me voler un baiser. Patricia ne manquait pas d’atouts, brune et coquette, elle avoisinait les proportions de ma tante avec une poitrine plus généreuse. En moins d’une minute, nous échangions un baiser léger mais rempli de sensualité. Je mettais fin à cette étreinte afin de ne pas lui faire espérer davantage. Je réfléchissais rapidement pour trouver une échappatoire. — Patricia, tu peux attendre le mois d’août s’il te plaît ? Dis-je sur un ton implorant. — Non ! Répondit-elle sèchement en s’asseyant. — Bah tu attendras… — Je connais pas mal de monde qui serait ravi d’apprendre votre petit manège ou ménage… Ironisa-t-elle en finissant son verre. — T’es une belle petite salope ! M’emportai-je. — Ah on commence à sympathiser ! Débrouille-toi mon petit et arrange-toi comme tu veux, tu viens demain après-midi. — File-moi ton numéro de portable. Murmurai-je en entendant des pas dans l’escalier. Véronique vêtue de son tailleur blanc crème et fraichement maquillée était belle comme une fleur. En faisant la bise à ma belle blonde, la brune me faisait un clin d’œil plus que coquin. Dépité, je les laissais à leur conversation sans saluer Patricia pour passer des textos. J’étais désorienté. Une fois sa fameuse meilleure amie partie, je décidais d’en parler à ma tante. Hors de question de faire cela dans son dos et peut-être avait-elle une alternative à ce problème… 
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