Karviol en prison (7)
Datte: 28/11/2020,
Catégories:
Transexuels
Karviol 7 La routine s’installe peu à peu dans la cellule. Je suis devenu(e) la "femme" du chef. Je connais son corps par cœur et j’ai pris l’habitude d’en prendre grand soin. Je lui masse les pieds avec une crème parfumée, ainsi leur léchage est devenu (presque) agréable. Je coupe ses ongles, je le lave sous la douche. Je suce ses poils pubiens et je lèche sa toison pectorale. Je masse son sexe et ses membres avec des huiles spéciales pendant qu’il lit ou se repose. J’épile ses sourcils broussailleux, mais aussi son nez et ses oreilles. J’ai appris à devenir sa coiffeuse dévouée, alors que moi-même je dois laisser pousser mes cheveux blonds et bouclés. Au bout d’un an maintenant, j’ai une chevelure quasi féminine, avec mes cheveux mi-longs, de derrière je comble son désir de vraie femme.... Les rares fois où j’ai négligé mon Homme et Maître, j’ai dû subir des punitions très douloureuses. Il peut être particulièrement cruel et s’amuse de mes pleurs. Il n’a pas peur de me frapper aux endroits stratégiques, voire d’utiliser la brûlure de sa cigarette. c’est absolument dans danger, mais alors... ça fait un mal de chien et ça prend beaucoup de temps à guérir! Je me suis donc soumis(e) à 100%. Je le lèche et le mordille amoureusement de partout. J’ai fini par éprouver de la reconnaissance pour mon Maître lorsqu’il ne me fait pas souffrir et même m’apporte d’immenses plaisirs. Je dors avec lui et subis ses assauts matin et soir. Ma chatte réclame maintenant son sexe chaud et ...
... familier, que je reconnais entre mille... car il continue à m’offrir régulièrement aux détenus qu’il a choisis. Ca se passe à la douche, mais également à la bibliothèque ou à l’atelier de menuiserie. Les gardiens ferment les yeux, mais évidemment cette cécité a un prix... Certaines semaines, je dois les soulager eux aussi. Mon désir de rendre service à l’humanité semble devenu immense. Qu’ il est loin le temps ou je dépouillais les braves gens de leurs économies. Je soulage aussi ses codétenus de notre chambre. Curieusement, Marcel leur interdit de me baiser en sa présence. Mais je leur prodigue plusieurs fellations par jour, souvent au moment des repas, ce qui est un excellent prétexte pour me faire "sauter" le repas, c’est cas de le dire... Je n’aurais jamais cru qu’en prison ces hommes puissent jouir trois fois par jour. Il est vrai que les distractions sont limitées, alors le sexe devient l’une de leur préoccupation majeure, je pense. Pour certains, je crois même que leurs couilles ont fini par occuper la totalité de leur boite crânienne. Je ne néglige pas mon propre corps pour autant, car je suis surveillé(e) et contraint(e) de rester propre, rasé(e) de partout et parfumé(e) avec goût. J’utilise des crèmes pour garder la peau douce et fais un peu d’exercice chaque matin pour conserver une légère musculature, malgré les privations régulières de nourriture. Je vernis mes ongles de pieds et prends soin de mes mains. J’ai d’ailleurs un très beau teint, probablement les bienfaits ...