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La gestionnaire - 1
Datte: 29/11/2020, Catégories: fh, inconnu, Collègues / Travail Oral pénétratio,
... pull au niveau de la taille. Le pull est très doux. La main part plus bas et rencontre le bord des côtes. Immédiatement, la main remonte. Elle rencontre la chair nue, douce et chaude. Charlotte se laisse toucher. Mais dès que la main remonte plus haut, le bras la bloque. — Non, pas plus haut, pas ici.— Tu as réellement faim ?— Non pas vraiment…— Où veux-tu aller ?— On va chez moi… si tu veux.— Ok, guide-moi. Nous sortons du parking. Elle me guide à travers la circulation dense du déjeuner. Rapidement nous sortons de la ville. La banlieue est très jolie. Quelques kilomètres plus loin, elle me guide pour entrer dans une propriété. Un portail automatique barre le passage. De son sac, elle sort la télécommande et le passage se libère. J’entre dans la propriété. Elle m’explique : — Mon mari m’a quittée pour une jeunette de 20 ans. Mais il a été bon joueur, il m’a laissé la maison.— Splendide… la maison. Le portail du garage s’ouvre automatiquement. Merveille de la technologie. J’arrête le moteur. Charlotte descend et m’attend à l’arrière du véhicule. Elle me saute littéralement dans les bras. Un nouveau baiser nous unit. Son manteau laisse un passage à mes deux mains très avides de contact charnel. Aussitôt le pull est remonté. Les mains rencontrent de nouveau la peau douce et chaude. Elles remontent le long du torse, sans rencontrer aucune résistance. Puis une barrière de dentelle bloque l’ascension. Charlotte ne reste pas sans rien faire. Son bassin est collé contre le mien. ...
... Mon sexe a pris des dimensions honorables. Charlotte les trouve à son goût. Ses hanches viennent heurter mon bassin. Elles recherchent le contact de mon sexe, bloqué dans mon slip. Mes mains escaladent les deux collines jumelles blotties dans une dentelle. Sous cette parure mes doigts sentent les pointes dardées de ses seins. Ne me retenant plus, mes doigts accrochent le fragile rempart et tirent vers le haut. Les bonnets libèrent les deux sphères. Aussitôt mes mains s’en emparent. Je les caresse, les masse, tout en pressant entre l’index et le pouce les bouts turgescents. Son baiser devient de plus en plus fougueux. Elle me mange les lèvres. Sa langue explore ma bouche, n’hésitant pas une seconde d’écraser ma langue contre mon palais. J’arrive enfin à me libérer de l’emprise de ses lèvres. Elle aspire un grand bol d’air. Je me baisse. Ma bouche arrive au niveau de ses seins. Ils sont magnifiques, ronds, tendus. Ils ne tombent absolument pas. Leurs pointes grumeleuses dardent comme deux fraises. Pressant encore plus entre mes mains les deux globes, elles se gorgent encore plus de sang. Je saisis l’une d’elle entre mes dents et du bout de ma langue je la caresse. Charlotte me prend la tête entre ses mains et la presse contre ses seins. Je lui aspire la pointe, toujours en agaçant le bout. Charlotte jette sa tête en arrière. Elle feule comme une chatte en chaleur. — Hum… c’est bon.— Tu aimes ?— Oui, continue. Je me décide à la faire sortir de ses gonds. Je rapproche les bouts de ...