1. Les misères de Sandrine


    Datte: 29/11/2020, Catégories: fh, inconnu, copains, complexe, fsoumise, chantage, Oral pénétratio, fsodo, mélo, portrait,

    ... magnétique. Robert se rappela de ce que lui avait dit Virginie, il sentit son sexe grossir. — Bon OK, mais quand j’entame une réparation, je demande toujours un acompte. Il lui prit la main en souriant et la guida au fond du garage derrière une voiture. Il défit son pantalon et sortit son sexe. — Il me faut un acompte.— Ici ?— Personne ne nous voit, ne perdons pas de temps, j’ai du travail. Elle se mit à genoux et commença à le sucer lentement les yeux fermés. Il lui tenait la tête et, au fur et à mesure que son excitation montait, accélérait la cadence. — Tu vas voir, ça va aller vite. Maintenant, il avait pris la tête de Sandrine avec les deux mains et la faisait sucer de plus en plus vite. — C’est vrai que tu es bonne… Une bonne salope… Je vais jouir… Tu prends tout dans la bouche et tu avales, lui dit-il d’un air autoritaire. Quand il finit par jouir, il stoppa d’un coup en la retenant pour qu’elle ne se retire pas. — Merci pour ce petit acompte, mademoiselle, laissez-moi votre voiture et revenez la prendre samedi après-midi, le travail sera bien fait Tout le restant de la semaine, Robert passa chez Sandrine pour aller chercher son « acompte ». Il passait la nuit avec elle. Robert était un adepte de la sodomie. En arrivant, il se faisait bien sucer puis l’enculait et comme il était très viril, il se réveillait une ou deux fois dans la nuit pour l’enculer à nouveau puis se rendormait. Il savait que cette situation ne durerait pas et il voulait en profiter au maximum. Le ...
    ... samedi comme promis la voiture était prête, Robert était un gars malgré tout correct. Il lui remit les clés de la voiture en lui disant : — Voilà, mademoiselle, elle est réparée, tout va bien. Si vous avez encore besoin de mes services n’hésitez pas. Sandrine monta dans sa voiture et partit sans dire merci, ni quoi que ce soit. — Allo… Oui, c’est Virginie. Tu as récupéré ta bagnole ?— Oui mais j’en ai mare de tes plans. J’ai l’impression de devenir une pute.— Voilà comme tu es, je te rends service et tu me remercies comme ça. Bon, tu as raison, c’est moi qui suis bête d’avoir voulu t’aider. Tu as ta bagnole, je t’ai fait découvrir des choses, je t’ai décoincée et toi tu me fais des reproches ! Ce faisant elle raccrocha. Sandrine resta perplexe son téléphone à la main. Elle se posait beaucoup de questions et se demandait si elle avait raison. Elle allait se retrouver à nouveau seule. Avant, avec Christian, les choses étaient beaucoup plus simples, ils travaillaient tous les deux et arrivaient à avoir une petite vie tranquille, ils avaient même envisagé d’acheter une maison. Elle commençait à regretter son ancienne vie. Puis cette idée s’estompa. Jamais elle ne pourrait retourner vivre avec un homme qu’elle n’avait jamais aimé, qui buvait et qui ne s’intéressait plus à elle. Et puis, cette vie de routine sans intérêt, décidément non. Elle décrocha le téléphone et composa le numéro de Virginie. — Je voulais m’excuser de t’avoir parlé comme je t’ai parlé.— Écoute, je ne t’oblige à ...