Aurélie
Datte: 29/11/2020,
Catégories:
fh,
extracon,
médical,
intermast,
Oral
pénétratio,
... enfoiré d’Alain, alors que la veille elle s’était endormie dans mes bras. C’est moi le rigolo dans cette histoire, elle m’a pris pour un con. Elle commence son massage, toujours aussi enjouée et se met à rôder vers mon entrecuisse, voyant que je me dérobe, elle s’arrête. — Mais enfin, qu’est ce qui t’arrives ?— Oh, ça va, arrête de te foutre de moi, j’ai tout vu— Comment ça, tu as tout vu ? Tu as vu quoi d’abord ?— Ne me prends pas pour un con, tu crois que je t’ai pas vu dans le bureau d’Alain, tu prenais bien ton pied, hein ? Alors retournes y et arrête de t’amuser avec moi, c’est pas la peine de faire semblant.— Mais qu’est ce que tu crois ? Que tu as des droits sur moi parce qu’on a passé un bon moment hier ? répond elle, changeant de couleur. Je t’ai dis hier que mon coeur était pris, mais mon cul, j’en fais ce que je veux, avec toi ou avec un autre.— Tu te fais pas chier quand même …— Tu crois que je suis là pour me faire chier ? Tu crois que j’ai l’âge de me faire chier ? Je calcule rien, je profite de chaque instant. Hier, on a vécu des instants magiques, qui resteront en nous à jamais, et toi, tu gâches tout, comme si je t’appartenais, comme si on était au temps de Cromagnon. Moi voir femme, moi baiser femme, Femme être à moi. Putain, mais tu n’as pas pensé à ce que je ressentais moi ? J’attend même pas la fin de sa tirade, je me lève tant bien que mal, met mon peignoir et je sors du box. Avant de fermer la porte, je regarde derrière moi, mon petit oiseau est en ...
... train de fondre en larme, le coeur brisé. J’en ai des frissons dans le dos. Ivre de rage, je rentre dans ma chambre, j’ai envie me défouler, de foutre un grand coup de pied dans une porte, mais mon putain de genou boiteux m’en empêche. Une seule chose peut me calmer, l’océan. J’enfile mes habits et je sors. L’hôtesse à l’entrée du centre n’essaie même pas de me retenir tellement l’état de furie qui m’habite doit être visible. Je marche quelques centaines de mètres et je m’adosse à une pierre, face à l’océan qui gronde en ce mois de Novembre, recevant de plein fouet les embruns. Face à une furie de la même ampleur que celle dans ma tête … Combien de temps suis-je resté là ? 20 minutes ? Une heure ? 3 heures ? Je ne sais pas … Je regagne ma chambre, frigorifié comme si je m’étais baigné dans l’eau glaciale. Je n’ai toujours pas décroché un mot depuis ma dispute avec Aurélie. Exténué, je trouve bien vite le sommeil. J’en suis tiré lorsque la porte de ma chambre s’ouvre, et je vois la silhouette d’Aurélie se découpant dans le rai de lumière. J’essaie de lui dire de partir, mais elle parle avant moi. — Ne dit rien. Tu es en colère et ce n’est pas ton coeur qui va parler. Laisse moi m’expliquer, non pas que j’ai à me justifier, mais on a passé un moment super hier, on pourrait en passer d’autres et toi, tu considères déjà que je t’appartiens. Je ne te veux pas comme ça, tu m’as fait craqué en étant drôle, attentionné, détaché, différent. Ne réagis pas comme un gros macho que tu n’es ...