1. Retour à l'improviste


    Datte: 30/11/2020, Catégories: fh, revede, facial, Oral pénétratio, fsodo, hgode, aliments,

    Je monte dans la voiture, il est 13 h 25. J’ai 180 km à faire, avec une bonne moyenne, il me faudra moins de deux heures pour rejoindre Elsa. Ça fait quinze jours que je suis par monts et par vaux et que je ne suis pas rentré au bercail. Elsa me manque… je crève d’envie d’être avec elle. C’est une chance que mon rendez-vous de cet après-midi ait été annulé. Je vais pouvoir rentrer avec quatre ou cinq heures d’avance ! Je prends la bretelle d’autoroute ; ça ira plus vite par ici… et puis ça me permettra de rouler tranquille, tout en pensant à autre chose… et justement, j’ai la tête à tout autre chose ! Tout en roulant, j’imagine Elsa, comment elle est habillée, ce qu’elle est en train de faire à cette heure-ci, ce qu’elle a bien pu se faire à manger… Les kilomètres défilent répétitifs et monotones. Je vois Elsa en petite tenue, elle m’emprunte toujours mon peignoir quand elle dort seule. Je l’imagine sortant du lit, les yeux vagues, l’allure un peu bougonne. Je la vois en train de prendre son petit déjeuner, boire son café face à la fenêtre. Puis elle passe à la salle de bains… elle accroche le peignoir sur le porte-serviette, entre dans la douche… Je voudrais bien être là, me faufiler dans la salle de bains, la surprendre dans la douche… lui faire l’amour, là, sous les jets d’eau. Bon, il est 13 h 55, je ne serai pas à Nantes avant 14 h 30. Elsa ne sera plus sous la douche… elle aura fini de déjeuner. Je prends l’embranchement d’autoroute, ça y est : Nantes 163 km ; enfin je ...
    ... sais exactement combien il me reste. Je regarde le compteur, je fais l’addition. Je me demande ce que fait Elsa en ce moment, elle est sûrement en train de manger. Son visage apparaît un peu partout, sur les portes des camions que je double, sur les panneaux de direction… partout je vois son visage, qui me dit « Viens ! » ; partout je vois ses hanches, ses seins, ses jambes qui m’invitent à m’y rendre encore plus vite. J’imagine comment elle est habillée, décontractée. Pull, pantalon large, traînant à pieds nus dans l’appart ; coquette, petit chemisier, jupe courte, talons hauts… Et en dessous, qu’est ce qu’elle porte ? Sophistiquée ? Guêpière et bas. Cool ? Soutien-gorge et culotte. Rien ? Plutôt que ce qu’elle porte, ce qui m’intéresse vraiment, c’est de savoir comment je vais lui enlever : mes mains glissent sur ses épaules nues, je dégrafe son soutien-gorge… je caresse ses omoplates, Elsa pose son dos sur mon torse, je l’embrasse dans le cou en fermant mes mains sur ses seins… Sinon, je prends Elsa par les hanches, à travers le tissu fin, je sens les baleines de sa guêpière, je laisse glisser ma main sur ses fesses, jusque sous sa jupe, je remonte jusqu’à l’attache de ses bas. Ou bien, ses seins sont libres sous un gros pull à col roulé ; à peine accrochée à mon cou, elle relève les bras pour que je la déshabille. Je lui retire son pull-over. Elsa se colle à moi et presse ses seins sur ma poitrine. À moins que son pantalon large ne cache une délicieuse culotte échancrée, ...
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