1. Enlevée pour la St Valentin (2)


    Datte: 01/12/2020, Catégories: Lesbienne

    Je ne tenais plus ; pendant qu’elle débouchait la bouteille de champagne pour remplir les deux coupes, je m’étais déjà entièrement déshabillée en faisant voler mes fringues à travers la chambre. Redressée sur les coudes, cuisses écartées sans la moindre pudeur, genoux repliés, je portai doucement la rose à mon nez pour en respirer le doux parfum tout en regardant ma chérie avec un regard des plus coquins, le sourire aux lèvres. Elle me rejoignit sur le lit, armée des deux récipients de verre remplis, m’en donna un et vint se blottir tout contre moi, enroulant son bras autour de ma taille. — À ta santé, ma chérie… dit elle tendrement, le regard rempli d’amour et d’affection. — À la tienne, mon amour… lui répondis-je de la même façon. Nous venions de trinquer les yeux dans les yeux, et nous sirotions ce délicieux champagne entre deux baisers et déclarations d’amour enflammées lorsque je renversai « par mégarde » les quelques dernières gouttes qui coulèrent doucement entre mes seins. — Ooooups ! fis-je en levant les yeux au ciel comme une petite fille qui aurait fait une bêtise tout en voulant me montrer provocante. — Petite maladroite ! gloussa ma chérie qui prit délicatement ma coupe pour la poser avec la sienne sur la table de nuit à côté d’elle. Attends un peu... Elle m’embrassa tendrement encore une fois, puis sa bouche descendit, dévora mon cou de baisers torrides, et de sa langue gourmande elle recueillit les quelques gouttes de boisson alcoolisée qui se frayaient ...
    ... lentement un chemin sur ma peau. Elle remonta pour caresser, lécher et sucer de façon habile mes seins, mes mamelons, mes tétons, la naissance de mes seins, mon ventre, mes cuisses, l’intérieur de mes cuisses, le creux de mes genoux... Aucune de mes zones érogènes ne fut épargnée. Alors que ma fièvre gagnait d’intensité, Tatiana prenait tout son temps pour m’infliger cette fantastique torture, observant attentivement chacune de mes réactions alors qu’elle arrivait à mon abricot réclamant tout son amour et son savoir-faire. — Mmm... Mais en voilà une jolie fleur bien rose prête à se faire butiner ! chuchota-t-elle avec sensualité. Le bout de ses doigts ont débuté un subtil massage autour de mon abricot juteux, puis, délicatement, ont écarté mes lèvres. — … Et avec un magnifique petit bourgeon qui à l’air bien sensible, comme je les aime ! compléta-t-elle, admirative, après s’être mordue la lèvre inférieure. Puis-je ? me demanda-t-elle simplement en me regardant avec un sourcil levé, se doutant déjà de ma réponse. — Elle est à toi : fais-lui ce que tu veux ! lui répondis-je, haletante. Sans perdre une seconde, sa bouche vint suçoter mes lèvres, puis sa langue a doucement lapé les perles de mon nectar. Lorsque sa langue a enfin touché mon clito, j’ai ressenti un choc électrique qui m’a secouée, et dans un terrible couinement sorti du fond de ma gorge, mon corps entier s’est tendu comme un arc. Je me laissai aller à ses exquises caresses buccales. La chambre se remplit bien vite de ...
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