1. LA MANTE RELIGIEUSE. (2)


    Datte: 02/12/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... mon oeillet de ce que j’ai eu le plaisir de boire ce matin. Après avoir assouvi son envie mon amant à une réaction surprenante. • Allez femelle tu dois descendre préparer le café avec ma mère, je l’ai entendu descendre il y a 15 minutes, apprends les bonnes habitudes. Il se lève et je le vois prendre ma robe blanche qui est restée au sol et s’essuie la verge dedans. Voyant mon embarras il sort de la chambre et j’ai le plaisir de voir mon mari entrer et m’apporter ma valise qu’il pose sur la chaise où il a assisté à sa déchéance sans comme aujourd’hui prononcer le moindre mot. Le travail a la ferme est intéressant pour une femme, après avoir nettoyé la salle commune où les hommes mangent nous nous occupons des petits animaux, poules canard et lapins. • Tu sais tuer un lapin. • Quelle horreur, de si gentilles petites bêtes comment pourrai-je leur faire du mal ? • Fais-le sinon j’appelle mon fils qui va te faire chanter autrement que tu la fais cette nuit, tu vas goûter de son ceinturon qu’il porte depuis qu’il a fait l’armée. Après la nuit que nous avons passée je suis sûr qu’il sera magnanime mais la famille est tellement étrange que je me garde bien de la contredire. • Comment faut-il faire ? • Prend-lui les pattes arrière avec la tête vers le bas. • Comme cela, pauvre bête. • Quand tu mangeras sa cervelle à midi tu me demanderas quand nous tuerons le suivant. Quelle horreur, la cervelle de cette pauvre bête certainement pas. • Bien il est calmé, tu prends ce morceau de bois ...
    ... qui sert à cela et tu lui donnes un bon coup derrière la tête pour l’estourbir. Trois fois je m’y reprends avant que la pauvre bête soit définitivement morte. • Attache les pattes arrière dans ces nœuds coulants et enlève-lui l’œil pour récupérer le sang pour faire la sauce. • A non, jamais. • Le ceinturon, même si je suis sa mère j’y ai goûté et mon cul s’en souvient encore. • Comment fait-on ? • Je te montre une seule fois le prochain tu le fais sans moi sinon je préviens Antoine qu’à part te faire baiser tu n’es bonne à rien. • J’apprends vite, montrez-moi. C’est comme cela que je la voie prendre un couteau effilé et passé derrière l’œil de la pauvre bête pour d’un coup de couteau emprunte à l’habitude l’enlever et faire pisser le sang dans la gamelle qu’elle a placée au sol. Dans le même temps elle sectionne la fourrure aux pattes et après avoir tiré vers le bas elle défait la peau en tirant dessus jusqu’à ce que le crane de l’animal soit dégagé. Elle prend le couteau ouvrant le ventre. Je ferme les yeux refusant de voir. Je fais des prières pour que le deuxième animal à tuer soit dans plusieurs semaines voir des mois. • Avec mes cinq gaillards un seul lapin est insuffisant, attrape ce gros et prépare le pour le mettre dans la casserole pour faire le ragoût. Une nouvelle fois je suis piégé, l’estourbir ce fait facilement après toutes les difficultés que j’ai à l’attraper. L’attaché les derniers spasmes de l’animal me faisant monter mon café aux lèvres L’œil a enlevé tout ...