Le party de Noël - Histoires de Sexe

Le party de Noël

... lobby lorsque tout à coup, plaisir pour les yeux, elle apparaît. Elle est vêtue d’une robe rouge et noire, nouée derrière la nuque, les épaules nues. Je peux remarquer qu’elle ne porte aucun soutien-gorge. Elle porte des bas de résille et des bottes à talon qui lui remontent les fesses d’une façon sublime. Nous allons au party, gros repas, beaucoup de vin, beaucoup de bière, beaucoup de drinks. Bref, une soirée bien arrosée. Nous dansons, nous jasons avec nos collègues, et, à ma grande surprise, elle ne reluque aucun gars du bureau, ni moi d’ailleurs. Vers deux heures du matin, la salle se vide, elle me dit : — Je suis écœurée de la musique, on s’en va finir la soirée à l’hôtel.— D’accord. Et je vais au bar prendre une bouteille de vin que je cache sous mon veston pour ramener à la chambre, histoire d’être certain d’avoir une belle gueule de bois le lendemain. Rendus à ma chambre, nous nous assoyons par terre et nous discutons de choses et d’autres en buvant du vin. Elle enlève ses bottes et ramène ses cuisses sous son corps. Elle est sublime. Je ne peux m’empêcher de m’imaginer que ses bas de résille montent jusqu’à la mi-cuisse, qu’ils sont supportés par un porte-jarretelles en dentelle noire et qu’elle porte un string aussi en dentelle noire. Lorsqu’elle se penche pour prendre son verre de vin, j’entrevois la courbure naissante de ses seins. La tension monte, des sourires complices s’échangent et les silences sont de plus en plus longs. Un combat mental se passe dans ...

... nos têtes, le petit ange et le petit démon s’obstinent. Le petit démon, aidé par l’alcool, me fait poser une main sur sa cuisse. Qu’est-ce je suis en train de faire… Elle me regarde et sourit, dépose son verre sur le tapis. Mes doigts montent le long de sa cuisse et rencontrent le morceau de lingerie imaginé, le porte-jarretelles… Elle me caresse l’épaule, et le souffle court, elle me dit : — On peut arrêter tout de suite si tu veux.— Non, je ne suis pas capable. Je détache la boucle derrière sa nuque et dévoile ses merveilleux petits seins, bien ronds, de la taille d’une pomme. Ses mamelons sont tout petits, très pâles, mais bien dressés vers le haut. Je me mets à les embrasser et les caresser. Pendant ce temps, elle a entrepris de déboutonner ma chemise qu’elle m’enlève aussi tôt. Je descends sa robe et elle se retrouve à demi-nue, vêtue seulement de string en dentelle noire (hé oui !), du porte-jarretelles et des bas de résille. Elle défait ma braguette et je m’empresse d’enlever mon pantalon. Elle touche mon pénis qui veut sortir de mon boxer. J’ai un gros frisson. Elle descend mon boxer pour libérer mon membre, qui est littéralement sur le bord d’exploser, et se met à me sucer langoureusement. En quelques secondes, je suis prêt à exploser. Voir son dos courbé sur moi, sentir le frôlement de ses seins sur mes cuisses, et surtout ses lèvres sur mon gland est insupportable, j’expire : — Je vais jouir…— Vas-y, laisse-toi aller. Tout de suite en ayant son accord, je me laisse ...