1. Baby-sitter par des jumelles (1)


    Datte: 03/12/2020, Catégories: Partouze / Groupe

    ... belles créatures que je connaisse se trouvaient dans ma chambre, un vendredi soir, en tenue légère, mes parents absents. Perdre ma virginité avec elles n’étaient peut-être pas si mal finalement. Mais je gardais toujours une certaine réserve. Elles s’avancèrent un peu plus dans ma chambre, chacune d’un côté du lit double, puis s’y assirent. - Euh, excuse-nous de te déranger mais... on voulait parler de certaines choses avec toi. Voilà, en fait, on te trouve plutôt attirant avec ma soeur et on se demandait si, euh, comment dire... si on te plaisait aussi, ou pas ? - Euh oui, enfin, vous êtes toutes les deux très gentilles et sympathiques... donc oui. - Merci, c’est gentil, mais on voulait plutôt savoir si... je sais pas comment dire... - Est-ce que t’es puceau Arthur ? demanda sans détour Manon, au grand étonnement de Léa (et de moi aussi). - Euh... oui... enfin, quel est le rapport ? - Est-ce qu’on te plaît assez pour que tu veuilles bien nous faire l’amour à moi et Léa ? - Euh... je... c’est que... A ce moment Manon commença à enlever son haut de pyjama. Elle l’enleva si délicatement, on aurait dit un ralenti. J’admirais ses formes, ses deux magnifiques seins, peut-être du 85C. Ses cheveux retombèrent telles des plumes sur sa peau blanche. Je devinais qu’elle rougissait. Elle me regarda, puis sa soeur. Je ne pus contenir mon érection, mon caleçon et ma couette n’y faisaient rien, une bosse s’était formée et les jumelles n’avaient pas manqué de la remarquer. - Je crois que ...
    ... ton corps parle pour toi Arthur. Je prends ça pour un « oui » alors, dit Manon. Elle se pencha alors vers moi et déposa un baiser aux coins de mes lèvres. Je ressentis un frisson dans ton mon corps. Jamais je n’avais éprouvé une telle chose (je n’ai jamais eu de petite amie, ni n’avais embrassé de filles en soirée, j’étais plutôt timide). Quand je rouvris les yeux Léa était en train d’enlever elle aussi son haut. Elle était tout aussi élégante que sa jumelle. J’avais deux déesses aux seins nues dans mon lit. Je me pinçais pour me prouver que ce n’était pas un rêve. Léa posa sa main sur la couette et avança jusqu’au niveau de mon pénis dressé. Elle le toucha quelques secondes puis retira la couette. Le caleçon était la toile du chapiteau et mon sexe en était le mât. Elle décala les morceaux de tissus pour faire apparaitre mon sexe en érection. Les deux filles se jetèrent un regard complice. Léa pris alors mon membre entre ses doigts délicats. Elle se mordillait la lèvre inférieure, rajoutant un aspect de fragilité à son visage d’ange. Telle Eve, ses cheveux bruns tombaient sur ses seins pâles. A ce moment j’avais perdu toute ma crainte et mon seul souhait fut qu’elle croque ce fruit défendu. Elle commença à faire de doux mouvements de va-et-vient. Je pus remarquer qu’une tâche se formait au niveau de l’entrejambe de Léa : apparemment l’excitation et le désir était très forts chez elle vu toute la mouille que sa chatte produisait. Mais ce fut Manon qui s’approcha de ma verge la ...
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