1. Henri et Patrick, un air de famille (1)


    Datte: 03/12/2020, Catégories: Partouze / Groupe

    ... Patrick l’a entièrement dévêtue, elle a un corps superbe. Ils la reluquent comme deux fauves prêts à bondir sur leur proie. Pierrette ne tient pas bien longtemps : vraisemblablement excitée par la présence de ses deux mâles qui ne pensent qu’à la prendre, la main posée sur son ventre descend doucement vers ses lèvres intimes qu’elle écarte délicatement pour accéder à son clitoris. Elle commence à se toucher doucement tout en se caressant la poitrine en regardant les deux compères à tour de rôle leurs bites dans ma bouche. Petit à petit, le rythme s’intensifie et s’accompagne de gémissements. Patrick s’approche d’elle, la fait mettre à genoux et lui présente sa verge turgescente. Elle arrête de se caresser les seins et saisit sa hampe, alors qu’il commence un va et vient dans sa bouche. Il lui caresse le ventre et les seins pendant qu’elle le pompe vigoureusement en se caressant le clitoris. Henri se retourne vers moi et me présente à nouveau sa queue devant le visage. J’adore sucer une bite et une de cette taille m’excite encore plus. J’ouvre toute grande ma bouche et gobe ce bout monstrueux. Je le suce, engloutissant un maximum de son membre entre mes lèvres. Il soupire : — Aaahh! Tu suces comme une vraie salope! Je me régale à sucer cette énorme queue. Je suis à genoux, suçant cette bite hors-normes. Je prends profondément la queue dans ma bouche. Enfin quand je dis profondément, ce que je peux, c’est à dire à peine plus d’un tiers. Tout en le branlant avec ma toute ...
    ... petite main qui n’arrive pas à en faire le tour, mais j’ai l’habitude avec Patrick. Mais je sais qu’il en veut beaucoup plus. Sa main est venue caresser mes cheveux tandis que je déguste sa bite et il finit par me pousser la tête pour me forcer à en prendre plus en bouche. Il donne aussi quelques coups de reins. J’ai très envie de lui offrir tout ce qu’il veut alors je le laisse faire mais j’avoue que ça commence à être inconfortable pour moi et je commence à manquer d’air. Ses mains descendent sur mes seins. Immédiatement, mes bouts se dressent et je sens ma chatte commencer à mouiller. Puis, d’un coup, il sort sa queue de ma bouche et me demande: — Assieds-toi sur le fauteuil et mets tes cuisses sur les accoudoirs, je vais te lécher la chatte! Je suis bien ouverte et je sens sa langue qui m’écarte les lèvres, s’enfonce dans ma vulve, titille mon clitoris. Chaque effleurement de sa langue sur le bouton dardé déclenche un véritable sursaut de mon bas-ventre qui l’oblige chaque fois à ressaisir le clitoris entre ses lèvres. Pour pouvoir poursuivre sa caresse sans continuellement rechercher l’étonnant petit bouton de chair, il me ceinture de ses bras, ses mains sur mon postérieur. M’immobilisant en écartant le plus possible mes fesses. Je ne peux plus me soustraire à sa langue. Je n’arrête plus de gémir doucement, il s’acharne sur mon bouton d’amour, le flagellant de sa langue, il me regarde me malaxant les seins à pleine main, les pressant fortement ou pinçant les bouts entre mes ...