Wolf story
Datte: 03/12/2020,
Catégories:
fh,
fhh,
extracon,
Oral
fantastiqu,
sorcelleri,
fantastiq,
... cerveau turbinant à fond les manettes pour justifier la présence sous mon toit d’un nudiste généreusement doté par la nature, une cacophonie grinçante me perça soudain les oreilles. Je me trouvai alors nez à nez avec un Offengluck aussi surpris que moi, un archet en main et, coincé sous son goitre, un vilain instrument qui ressemblait vaguement à un violon. — Mais que diable… Je n’eus pas le temps de terminer ma phrase. Un rugissement furieux m’incita à tourner la tête dans l’autre sens aussi vite que possible. À la place du visage de Wolf (je décidai qu’il s’agissait bien de lui), il y avait à présent un museau allongé et poilu qui n’avait plus rien d’humain. Deux grosses billes jaunes me fixaient, tandis que la gueule du monstre, béante comme l’enfer, exhibait ses terribles crocs. Chacun de ces bébés devait bien mesurer dans les trois ou quatre centimètres ! La chose rugit à nouveau, un feulement terrible qui fit se dresser tous les poils de mon corps. Ça faisait penser au cri de Chewbacca dans Starwars, mais en nettement plus effrayant car beaucoup, beaucoup plus réaliste ! Je sais, j’aurais dû m’interposer entre lebodyguard de Sophie et Offengluck, mais j’étais bien trop terrifié pour ça ! Un horrible carnage menaçait de se produire d’ici peu ! Aussi, je me fis le plus petit possible, lorsque le loup-garou s’avança pesamment vers le Teuton tétanisé. Wolf lui prit son instrument et, d’une chiquenaude, le broya comme une coque de noix. J’étais certain qu’il allait ensuite ...
... l’égorger, avant de détacher sa tête de son cou. J’en étais à estimer mes chances de ne pas subir le même sort lorsque deux autres protagonistes surgirent de notre chambre à coucher, tout aussi nus que Wolf. Mme Robert (une fausse blonde, au final), s’escrimant à passer l’un des peignoirs de Sophie, suivie de prés par Revival, encore sous forme humaine. — Fais gaffe, Wolf ! hurla soudain son comparse. Il se métamorphose ! Je me tournai alors vers le producteur, assistant bien malgré moi à un spectacle dantesque : la tête d’Offengluck avait presque doublé de volume et s’était fendue en deux dans le sens de la largeur, arborant un impossible sourire plein de dents triangulaires et tranchantes. Ça lui donnait un petit air de citrouille d’Halloween – une citrouille affreusement menaçante ! Un grondement montait de sa gorge tandis qu’une bave rosâtre maculait son menton hypertrophié. Bon dieu ! Pourquoi fallait-il que mon chez moi se transformât systématiquement en maison des horreurs ? Avec un petit cri de souris, je cherchai à disparaître au fond de mon fauteuil. Sans trop de succès, semble-t-il. La monstruosité à ma droite se détendit tel un ressort, bondissant à la gorge de l’abomination poilue à ma gauche et lui arrachant au passage une bonne moitié d’oreille. Wolf poussa un cri déchirant, sorte de piaulement mi-canin, mi-humain. Il recula, mais pas pour fuir. Vif comme l’éclair, le loup-garou exécuta un coup de pied retourné parfaitement bien placé. Face de citrouille qui ...