1. De Julien à Julie (7)


    Datte: 04/12/2020, Catégories: Transexuels

    ... femme. Je l’aide à ouvrir le pantalon de mon homme pour extirper ce qu’elle désire. Elle quémande à Patrick un baiser, qu’elle obtient, alors que le mari fait le service pour nous trois. Il s’est allongé au sol et regarde, presque avec satisfaction, son épouse se faire peloter, alors qu’elle manipule l’engin de mon amoureux. Elle m’invite alors à me déplacer pour venir m’asseoir près d’elle et, rapidement, elle se tourne vers moi. Nos langues se lient avec délectation. Elle me communique sa passion instantanément ! Mais surtout, elle est sensuelle au possible. Je glisse mes mains sur son corps, sans que nos bouches ne se détachent. Sa main glisse sous ma jupe et elle n’a pas de mal à se saisir de mon sexe érigé. Elle a, désormais, une bite tendue dans chaque main qu’elle manipule avec délicatesse, juste ce qu’il faut pour entretenir notre érection. Nous buvons, puis mangeons un apéro dînatoire que son mari nous apporte au fur et à mesure. Dès que sa main est libre, elle revient sur mon sexe, sans jamais lâcher celui de Patrick. Elle chasse son ‘esclave’ à la cuisine pour qu’il mange son repas loin de sa vue, dans une gamelle à ce que je comprends, comme un chien. A tout moment, nous nous prodiguons mutuellement des caresses pour maintenir la braise de notre trio. Le repas fini, elle claque dans les mains et son homme accourt. «Débarrasse tout ça et va chercher ce qu’il faut ! » Le toubib s’affaire et revient, sans son plug, pour déposer un tas de choses sur la table avant de ...
    ... s’y appuyer sur les coudes. Sylvie se lève, quitte sa robe et nous enjoint à la suivre, totalement nue. Elle a vraiment une silhouette magnifique ! Elle se saisit d’un bout de corde, le tend à Patrick. Fait de même à mon égard et nous demande d’attacher les chevilles de son mari aux pieds de la table. De son coté, elle lui noue solidement les poignets. Son mari est ligoté, dans une posture indécente. Son épouse ne s’arrête pas là ! Elle lui masque, ensuite, les yeux avec un foulard opaque. Non seulement il est dans une attitude de soumission totale, mais en plus il ne verra rien de ce qui va lui arriver. Parmi les objets sur la table, il y a un martinet, dont elle se saisit. Sans préavis, elle frappe le fessier offert. Les lanières cinglent la peau. Elle abat le martinet plusieurs fois avant de le tendre à Patrick. Lui frappe fort sur les cuisses, touchant même les testicules. Le Docteur reçoit chacun de ces coups sans crier, juste un grognement de douleur à chaque fois que le cuir larde sa peau. Sans nul doute, il apprécie cette humiliation. Son petit sourire le prouve. C’est à mon tour et mon premier coup est plutôt mou. Sylvie me fait signe de frapper plus fort. Sans comprendre pourquoi, j’éprouve brusquement un plaisir sadique à abattre le martinet. Les fesses de la victime sont brûlantes, marquées de traits rouges qui s’entrecroisent. Quand il crie, c’est pour dire : « Baisez moi maintenant, s’il vous plaît … !!!! » C’est Patrick qui se dévoue en le pénétrant d’un coup, ...