Ma découverte du candaulisme, 1ère partie, ma femme me trompe
Datte: 04/12/2020,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
... tissu qui lui reste dans les mains quand je soulève doucement mon bassin. Il a devant les yeux ma chatte complètement épilée. Je suis complètement nue devant lui mais ne veux pas ouvrir les yeux attendant fébrilement de savoir ce qu’il va faire. Je ne veux pas rompre le charme car je n’aurai plus le courage d’aller plus loin. Soudain je sens quelque chose d’humide sur mes grandes lèvres, une langue râpeuse explore de bas en haut ma vulve avant de s’insinuer dans mon puits d’amour. Antoine s’est mit entre mes jambes et commence un cunni. Je suis tellement excitée par la succion d’Antoine que je le laisse faire et commence à perdre les pédales quand il titille mon clito du bout de sa langue, ma vulve humide à peine duveteuse, avec les lèvres bien visibles déjà entrebâillées et mes seins fièrement dressés aux pointes déjà durcies s’offrent à lui. Ne voulant pas être en reste, une de ses mains plonge vers ma vulve. Ses doigts agacent violemment mon clitoris qui doit être aussi raide que sa queue. Ils le frottent, le pétrissent, le malaxent, enfonçant deux, puis trois doigts dans la fournaise détrempée de ma grotte aux délices qui n'est plus qu'une merveilleuse éponge dégoulinante de ma cyprine Il me dévore le clito me faisant jouir plusieurs fois. Mon vagin déborde de ma liqueur qu’il lape comme un petit chien. Il est vraiment doué. Je suis sa salope, sa pute, je voudrais manger sa bite, me faire baiser par tous les trous, et d’autres choses encore. J’ouvre enfin les yeux et ...
... veux moi aussi le toucher et le branler pour lui faire plaisir. Je me redresse et m’approche de lui, défais la ceinture de son pantalon, descends la fermeture éclair et abaisse son pantalon. Je vois pour la première fois pourquoi il a tant de succès avec les femmes. Une verge épaisse et de bonne dimension pend mollement entre ses cuisses, et il ne bande même pas, le salaud… Je n’en reviens pas, elle est pratiquement de la même taille que celle de mon mari au meilleur de sa forme. Je prends dans ma paume ce tuyau flasque et doucement, tout doucement, je commence à le branler. Il me faut un bon moment avant que sa verge ne commence à réagir à mes sollicitations. Son phallus enfle enfin et s’étire doucement, devenant de plus en plus raide. Je n’ai jamais vu ça, je ne sais pas la capacité d’élasticité que peut atteindre une queue mais Antoine doit être dans les hommes les mieux gâtés par la nature. Sa verge n’arrête pas de croître et son diamètre est tel que ma main n’arrive plus à en faire le tour. Sa bite a pratiquement doublée de taille et ma deuxième main qui a rejoint la première n’arrive pas à la base de son gland gonflé comme un champignon. Quel étalon !!! Je le branle depuis un moment quand il veut soudain aller plus loin, je le supplie : -Non ! Pas encore, laisse-moi faire et te rendre la pareille ! Je n’ose pas encore prendre en bouche ce pal extraordinaire. Je m’évertue pendant de longues minutes avec mes mains sur cette hampe magnifiquement dressée, chaude et dure comme ...