1. La galerie des Glaces (1)


    Datte: 05/12/2020, Catégories: Partouze / Groupe

    ... hommes. Rien ne l’émouvait autant, que commencer à ouvrir une braguette et découvrir le sexe bandé de son partenaire. Elle jouirait presque disait-elle, en sentant toutes les manifestations de désir des mâles autour d’elle. Cérébrale, mais aussi clitoridienne, elle ne peut concevoir une relation sexuelle sans orgasmes réciproques, et en ce qui nous concerne, souvent simultanés. Elle est vêtue d’une jupe noire, d’un bustier blanc avec des bretelles lui dégageant les épaules. Elle porte des bottes de cuir, des bas Dim-up et une petite culotte brodée blanche. Partagé entre l’envie et la crainte, je ne voudrais pas que ma petite femme, soit le centre d’un gang bang. Juste avoir un aperçu de ces sensations si troubles, dans la peau d’un mari. Nous entrons dans la pièce de droite. Elle est très propre, elle a été à peine remaniée. Il n’y a personne, nous poussons le verrou, pour rester seuls. Il y a toujours cette ouverture entre les deux pièces, nous voyons à travers celle de gauche, dont la porte est entrouverte, mais elle est vide et sombre. Nous jetons un coup d’œil à l’écran quelques films X défilent, Je soulève la jupe de ma dulcinée, et je commence à lui caresser les fesses en l’embrassant dans le cou, en lui titillant le bout des seins. Je remonte sa jupe et passe la main sous l’élastique de son slip, et je constate que sa vulve est tout humide je glisse mon index entre les grandes lèvres et lisse sa vulve mouillée. Elle doit sentir contre ses fesses gonfler mon désir. ...
    ... Nous sommes un peu angoissés, si quelqu’un venait à côté ? Ou pire si personne ne venait ? C’est alors que nous entendons des pas. Quelqu’un essaie d’ouvrir notre porte, puis on entre dans la pièce mitoyenne. C’est vraiment oppressant. L’ouverture se trouve très près de nous. Nous voyons deux jambes gainées de cuir noir, puis, à travers l’ouverture, un visage apparaît, très jeune, très brun, un peu frisé, il est vêtu tout de cuir. Il ressemble à Georges Chakiris dans West Side Story. Il a un look un peu exotique et une peau mate. Il est à genoux. Sous son blouson de cuir noir il arbore une chemise rouge, hasard ou intention, cinéphile peut-être ? Avec un grand sourire, il nous voit dans notre position coquine, et passe le bras, il vient poser la main sur les fesses d’Anne. Sa position lui permet de voir les cuisses de ma petite femme par-dessous ! Il voit mes doigts qui la câlinent. Elle sourit, je suis derrière elle, en tournant de son côté, sur sa gauche, elle lui expose délibérément le renflement de son sexe, sous son slip brodé blanc. Il lui caresse les jambes en montant entre ses cuisses à la lisière des bas, à l’endroit où commence cette peau si douce, qui annonce l’entrée des plaisirs : le pli à la limite des cuisses et des fesses, de chaque côté de son mont-de-Vénus, l’endroit qu’elle bichonne souvent en le rasant un peu, parfois en forme de cœur, mais le plus souvent en triangle. C’est une vraie femme, elle sait que j’apprécie particulièrement ce mélange de sensations ...
«1234...»