1. L'étau se resserre


    Datte: 05/12/2020, Catégories: f, ff, campagne, telnet, fsoumise, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, vidéox, photofilm, chaussures, Oral fgode, fdanus, jeu, attache, BDSM / Fétichisme yeuxbandés, piquepince,

    ... ? Et je pris ses doigts pour les porter à ma bouche.— Oui, c’est vrai, Marjorie me l’a ordonné.— Et tu as visité tous tes trous, petite vicieuse.— Oui, c’est vrai.— Si tu me fais confiance, suis-moi ! Et je me levais contournant la maison. Anne me suivit un peu surprise jusqu’à l’appentis. Je lui indiquais des fines cordes de chanvre, lui dis de les enrouler pendant que je retournais à l’intérieur ou je préparais en hâte quelques objets. Une fois dehors Anne, m’attendait, nue debout, tenant les cordes dans ses mains. Je l’obligeais à s’agenouiller devant moi et lui passais le collier qu’elle avait porté un peu plus tôt. J’y ajoutais une chaînette. Puis attachais la laisse (autant nommer un chat, un chat) à la table avant de retourner à l’intérieur finir mes préparatifs. Je sortais, vêtue d’une robe boutonnée sur le devant, de mes sandales à lacets. — Maintenant que tu es en laisse, nous allons nous promener un peu, suis-moi ! Et je sortis, Anne me suivant docilement mais pas rassurée. J’ouvrais la porte de la voiture. Elle s’assit, je démarrais et quittais le chalet. Après 20 bonnes minutes je m’arrêtais en bordure d’un pré et la fit sortir. Je pris mon sac et nous empruntâmes un chemin forestier, à pied.— Fabi ?— Je ne veux rien entendre.— Mais ?— Stop, si tu continues je te punis !— Mais ?— Tu mérites une punition, et comme je te connais, je crois que tu ne demandes que ça. Présente-moi tes seins ! Anne prit ses seins entre ses mains et les fit pointer vers moi. Je pliais ...
    ... la laisse et lui mit en bouche lui intimant de ne pas la lâcher. J’embrassais ses seins, les gobant presque entiers, pinçant ses tétons puis plaçais les pinces.— Mmmmm…….— Tourne-toi et mets-tes mains sur ta tête ! Plus vite ! Et je lui liais les mains derrière la nuque avec une cordelette de chanvre.— Mmmmmm …..— Allez, on continue ! Et je repris la laisse de sa bouche, elle était couverte de salive. Anne me suivait les mains derrière la nuque, les tétons torturés par les pinces. Elle ne disait rien, mais n’attendait qu’une chose. Le jour commençait à poindre doucement.— Fabi ?— Ah, tu n’écoutes pas ! Arrête-toi, et écarte les jambes ! Je glissais ma main sur sa fente, elle était trempée. Jugeant tout préliminaire inutile, je plaçais des pinces sur ses grandes lèvres. Elle se cambra en gémissant. Elle était belle, ainsi, soumise et libre à la fois. Nous allions arriver au but de notre balade. Une maison se dressait devant nous, elle n’était pas de première jeunesse et ressemblait un peu à un centre de vacances à l’abandon. Je passais le portail suivie de mon amante. Le lieu paraissait effectivement abandonné mais on pouvait distinguer des traces de passage. — Nous y sommes ! Je vais te bander les yeux et t’attacher ici, tu vas m’attendre sagement.— Ne me laisse pas seule !— Chhhht, ne dis rien ! Je reviens. J’entrais dans la maison, elle semblait effectivement entretenue, il n’ y avait pas de poussière et elle était même meublée. L’électricité fonctionnait, je m’installais ...