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M à voisine russe
Datte: 20/10/2017, Catégories: Anal Mature, Voyeur / Exhib / Nudisme
... me fallait maintenant réunir tous mes esprits. Qu'avais-je pu remarquer en son air voire son accoutrement. En effet sur ce dernier point ma surprise avait réussi. Le fameux manteau de cuir durant le bref échange avait su s'écarter. J'avais eu le temps de distinguer entre qu'elle portait de superbes cuissardes mauves, un haut en forme de gilet et une minijupe de cuir noir. Quant à son visage, il était remarquablement fardé et des marques de rouges comme des traces parsemaient ses joues. Peut-être l'avait-on griffé ou giflé.Le harki avait raison ma russe avait une façon singulière de se vêtir en journée et d'honorer une rencontre de deux heures dans un lieu que manifestement elle ne connaissait pas avant. Le puzzle se reconstituait à grande vitesse et corroborait la thèse de mon concierge. J'étais fasciné plus qu'outré de telles révélations. J'en voulais savoir davantage de ma mystérieuse voisine. Je décidais de consacrer une partie de mes jours RTT à poursuivre mon enquête. Je décidais de me déguiser à mon tour. Planqué dans ma voiture j'attendais qu’elle sortit de nouveau de l'immeuble.Le premier jour je fis chou blanc. Elle allait tout bonnement faire du shopping au Bon marché. La seconde fois j'eus la conviction qu’elle sacrifiait à son même mode opératoire. Cette fois nous étions devant un immeuble du 16°. Elle fit le code de l'immeuble après avoir reçu un coup de fil et restât là près de deux heures. Cette fois elle ne portait point de cuissardes mais hors du manteau on ...
... distinguait le port de bas résille. Elle semblait maquillée outrageusement. Mon harki m'avoua qu'il avait remarqué cela ainsi que d'autres dans l'immeuble. Ce n'était pas digne d'une épouse.Le mari savait-il cela ? Le harki soupçonnait que ce ne fut un mari mais un souteneur. Néanmoins le bail était au nom de M et Mme. Il avait vu leur pièce d'identité en bonne et due forme. J'affectais de croire fantaisiste la thèse de mon harki. Je lui dis qu’une épouse avait droit d'être coquette et de vouloir se maquiller ainsi. Même ajoutais-je goguenard : « Et puis elle a droit d'aller rejoindre son amant ! » Mon harki haussa des épaules et dit : « Je sais reconnaître une femme allant rejoindre un amant. » Je n'osais lui rappeler cependant qu'il m'avait promis des preuves. Celles-ci tardaient.Il me vint idée que mon harki pouvait tout comme moi la filer et qu'il allait réunir un jour un faisceau substantiel d'indices. Je trouvais ridicule que nous nous soyons improvisés tous deux espions. De quoi nous mêlions-nous ? Cette femme n'avait-elle pas droit de vivre de ses charmes fut-ce avec l'assentiment du conjoint ? Je ne savais pas que j'avais mis le doigt dans un terrible engrenage. Un soir à la nuit tombée à la sortie du bureau je fus abordé en effet par deux hommes arborant chacun, chapeau et lunettes noires tel en un mauvais film. Je crus à une blague.L'un me pointant une arme ils m'invitèrent à les suivre. Peu à peu nous nous engouffrâmes dans une auto. Je trouvais de mauvais goût la ...