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M à voisine russe
Datte: 20/10/2017, Catégories: Anal Mature, Voyeur / Exhib / Nudisme
... me félicitât que j'avais tenu parole. Qu'il semblait que je ne suivais plus son épouse. Il m'annonçait qu'ils allaient bientôt déménager et quitter le pays. Cependant il avait un dernier service à me demander. Nous serions quittes après cela. Il précisa que ce service serait somme toute agréable. Il me dit qu'il ne voulait l'exprimer là maintenant au téléphone car nous étions peut-être sur écoutes. Je serais bientôt informé par une autre voie.J 'étais malheureux tout en sueur. Quel serait ce service demandé ? J'eus voulu être à l’époque où ce singulier couple serait parti et disparu de ma vie. Je ne comprenais pas que fut associé de l'agrément à ce service si mystérieux. Je n'avais personne à qui confier mon désarroi. Surtout pas au harki. Sûrement l'avait-on de même sollicité. Enfin récupérais-je dans ma boîte aux lettres, une enveloppe improprement fermé où rien n'était mentionnée. A l'intérieur un simple billet sur le quel était écrit : « Demain à 19h00 exactement, vous recevrez un coup de fil masqué. Veuillez décrocher alors. »Ce que je fis le lendemain. Il s'agissait à l'autre bout du russe. Il ne m'invitait pas moins que d'aller à la même heure chez lui où serait sa femme et point lui. Il n'en disait pas davantage hors de préciser que je devais me conformer à cette demande et qui était un ordre.J'y vis l'aboutissement de mon histoire et une façon sûrement de m'en libérer quoiqu'il m'en coûtât. Je n'eus pas la présence d'esprit de me savoir ce qu'on me demanderait ...
... là-bas. Aussi parfaitement troublé frappais-je à heure précise à cette porte. J'épiais autour de moi pour voir si on n'espionnait pas. Tout était sombre et calme.Ma belle russe en effet était derrière la porte. En effet j'eus au dernier moment la crainte que ce fut un autre qui m'égorgerait sur le champ. Je m'attendais à tout jusqu'au plus scabreux. Elle avait toujours le même sourire avenant que les autres fois. On n'eût dit qu'elle n'était au courant de rien. Elle m'en dit pas moins : »Passons au salon. Je vous attendais. » Je fus frappé qu'elle arborât une longue robe de chambre de soie portant dessous des bottes dont les talons hauts manquaient à chaque fois à de se tordre et de la faire trébucher. Accoutrement fort singulier.Tel un petit garçon pris en faute je me pelotais dans un coin du canapé. J'acceptais sous son conseil le thé géorgien. J'étais tout ouïe. Je m'imaginais qu'on allait m'infliger une mission genre aller assassiner un potentat tchétchène sur Paris ou autre. Elle semblât marquer la surprise de tant d'angoisse. Elle s'exclamât : « Quelque chose ne va pas ? Détendez-vous. Vous êtes ici chez vous. Je vous invite de bonne grâce. Mon mari m'a demandé d'être à vos petits soins. » J'étais éberlué d'un tel discours. Manifestement je ressortirais vivant de cet appartement et n assassinerais personne.Elle s'était disposée en un fauteuil face à moi. Seule l'ampleur de trouble peut expliquer que je pus escamoter tant de détails qui en un contexte normal m’eurent réveillé ...