1. Cette photo ne m'était pas destinée (1)


    Datte: 20/10/2017, Catégories: Erotique,

    ... fait caressante et sensuelle alors qu’elle m’allume, montrant son corps divin sous tous les angles: ses jambes interminables, son décolleté vertigineux, sa taille cambrée, ses fesses parfaites. "J’aime comme tu me regardes. J’aime ce que tu me fais faire… J’ai l’impression qu’avec toi, je suis libre d’être une vilaine fille…" Émoustillé par ce qu’elle me montre, je me déshabille entièrement et je me met à me masturber devant le live show d’Athena. "Oh j’adore voir comme je t’excite… Jérémy ne m’a jamais regardée comme ça" feule-t-elle. Peu à peu, elle délasse son corset, puis retire son string, pour ne plus conserver que ses bas. Je la vois nue pour la première fois: ses petits seins, comme des pommes, son ventre de ballerine, la cambrure de ses hanches et son sexe moite dans lequel elle plonge ses doigts avec abandon. Je m’imagine que je m’enfonce en elle. "J’ai envie de te baiser, Athéna…" Nous nous masturbons par écrans interposés, faisant grimper le plaisir de plus en plus haut, nos regards unis à travers la caméra. "Oh mon dieu… J’ai envie de te sentir en moi…" dit-elle. Je vois sur son visage l’expression d’appétits dont elle ne soupçonnait pas l’existence. Alors que j’entends qu’elle est en train de se laisser emporter par l’orgasme, je m’abandonne moi aussi et j’éjacule violemment, une belle giclée de sperme qui va couler sur mon écran. Haletants, confus, embarrassés, nous éteignons nos ordinateurs sans dire un mot. Je dors peu. Je ne pense qu’à elle. Le jour ...
    ... suivant, elle porte l’uniforme de la secrétaire cochonne: minijupe noire et chemisier ouvert sur son décolleté. On a beaucoup de mal à ne pas se toucher. On s’envoie des messages cochons toute la matinée: J: Quand je t’ai vue ce matin, j’ai eu envie de te basculer sur un bureau et de te prendre en levrette A: Tu me rends folle… J: Pas folle: je me suis contentée de réveiller ta vraie personnalité A: Si je n’étais pas à Jérémy, tu sais que je viendrais chez toi en petite tenue et que je te laisserais faire de moi tout ce que tu veux? J: Il ne te mérite pas, ce mec. Tu n’es pas à lui, tu es à moi A: Je suis amoureuse de lui. On va se marier J: Tu es à moi, tu es ma salope, arrête de te mentir Quelque chose dans mes mots la fait réagir. Elle se lève brusquement de son bureau et se dirige vers les toilettes, perchées sur ses talons-aiguilles. Comme tout le bureau, je mate son cul quand elle passe devant moi. J’attend quelques instants pour que ça ne soit pas trop suspect, puis je la rejoins dans le couloir. Elle m’attend. Je l’embrasse d’une bouche vorace, ma langue prenant possession de ses lèvres alors que nos salives se mêlent. Nos mains sont partout: les miennes sur ses fesses, ses hanches, sa taille fine; les siennes sur mon torse, mon ventre, mon entrejambe. Ici, n’importe qui pourrait nous surprendre. Je m’en fiche: le désir est trop fort, il faut que je la possède. "Il faut que je t’aie, il faut que je te prenne." Mais entre deux baisers, elle tempère mes ardeurs. "Tu me ...
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