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Les deux soeurs (3)
Datte: 06/12/2020, Catégories: Partouze / Groupe
... couilles, de son cul et du plaisir qu'il lui donnait. Galvanisé, le matelot la promena sur sa queue dans diverses positions, conscient qu'il baisait la plus grandiose salope qu'il eût jamais rencontrée. Mais celle-ci n'était plus habituée à un coït aussi long et fougueux. Au bord de l'épuisement, elle souffla : - Viens maintenant, viens, viens... Mais l'autre se méprit et la plia encore en deux, stimulé par les coups sourds qu'il entendait sur le toit de la cabine au-dessus du lit et qui correspondaient aux virulents coups de bite du Belge ou du Canadien avec Sandrine ou Corinne, une voix féminine ponctuant chaque pénétration d'un "ouiiii" strident. Il voulait faire couiner Martine pareil et continuait à la limer avec conviction. Finalement, c'est la main de celle-ci glissée entre ses jambes pour attraper ses couilles qui déclencha son éjaculation et une giclée blanche trancha sur la peau chocolatée de la sexagénaire, au bord de la syncope. Lorsque le matelot se retira, elle se sentit vidée et remplie à la fois, étrange sensation qu'elle croyait ne plus connaitre. Et une fois, plusieurs minutes plus tard, qu'elle eut récupérée ses esprits, elle lâcha dans un souffle : - Merci, tu m'as régalée comme je ne l'avais pas été depuis longtemps. Satisfait dans son orgueil de mâle, et après s'être assoupi, le jeune homme se rhabilla et remonta sur le pont. Ses deux patrons s'étaient également rhabillés et lui lancèrent un clin d'oeil complice. Les deux femmes gisaient à poil sur leur ...
... serviette, les membres en croix de Saint André, aussi vannées que leur copine Martine. Mais tout aussi satisfaites. ******** Après s'être rafraichies avec des boissons, puis s'être lavées de leurs ébats dans l'onde marine, les trois femmes se retrouvèrent pour évoquer les événements récents, totalement inattendus pour deux d'entre elles. Pendant que les marins reconduisaient le bateau au port, Sandrine déclara : - Bon, maintenant, qu'est-ce que vous allez dire à vos maris ? - On ne sait pas trop, on ne s'attendait pas à ça, reconnut Corinne. - Si vous êtes les libertines que vous prétendez être, poursuivit Sandrine, il faut le leur dire et s'ils sont libertins, ils l'admettront, c'est le principe du libertinage. Si vous ne dîtes rien, c'est purement et simplement de l'adultère. - Mais tu ne dirais rien au moins ? interrogea Martine, encore endolorie par la gymnastique érotique précédente. - Bien sûr que non. - Moi, je crois que je ne vais rien dire à Christophe, je n'ai pas envie qu'il le prenne mal. D'ailleurs, ce ne serait pas la première fois que j'éviterai de lui parler de ce genre de chose. - Moi itou, je vais laisser un peu de temps, poursuivit Martine. - Eh bien, j'espère qu'après ce que vous avez vécu ici, vous allez faire des excuses à Agnès. Tout ce qu'elle a fait, elle l'a fait devant vous, pas en catimini comme vous. - Tu as raison, on lui doit bien ça, reconnut Corinne. J'espère qu'elle ne nous en voudra pas. - Elle n'est pas rancunière mais si vous la revoyez un ...