Chez le gynéco
Datte: 07/12/2020,
Catégories:
fh,
extracon,
inconnu,
médical,
massage,
Oral
pénétratio,
... étais à ce stade de mes pensées lorsque je sentis un ou plusieurs de ses doigts parcourir ma fente jusqu’à mon clitoris, avant de revenir s’enfoncer doucement dans mes chairs intimes, puis ressortir immédiatement et remonter une nouvelle fois jusqu’à mon bouton que je sentais s’étirer sous la sollicitation. Paralysée par les agissements étranges de mon gynéco, je ne bougeais pas, d’autant que ce qu’il me faisait n’était pas désagréable, bien au contraire. Devant mon manque de réaction, les doigts s’enhardirent et s’enfoncèrent une nouvelle fois plus profondément dans mon intimité, mais cette fois-ci en tournant, ce qui déclencha un spasme de mes muscles intimes. Autant sous l’effet de la surprise que du plaisir, je laissais échapper un léger gémissement qui n’échappa pas à mon gynéco, lequel m’invita à me décontracter au maximum pour le laisser m’examiner. Au lieu de lui faire remarquer que ce qu’il faisait ne ressemblait en rien à un examen médical, j’ouvris un peu plus les cuisses pour le laisser me fouiller carrément de ses doigts, tandis que son pouce se posait comme par inadvertance sur mon clitoris en pleine ébullition. Sans que cela soit fait franchement, je sentais qu’il bougeait presque imperceptiblement son pouce sur mon bouton, accentuant sa pression pour le faire grossir et déclencher des spasmes révélateurs du plaisir qu’il me procurait. J’essayais de ne rien laisser paraître, tout en me persuadant que j’étais en pleine affabulation car, pour moi, jamais un ...
... médecin n’aurait pu se mettre à masturber une de ses patientes sur la table d’examen. Pourtant, mon corps, lui, ne s’y trompait pas. C’était bien des caresses qu’on lui prodiguait et moi je refusais de l’admettre, alors que lui réagissait positivement aux sollicitations. Je ne pouvais me mentir plus longtemps car je sentais parfaitement ma mouille envahir mes muqueuses, lubrifiant copieusement les doigts qui me prenaient maintenant plus franchement dans un lent et profond va-et-vient. Mon gynéco, dont les doigts pataugeaient allègrement dans mes sécrétions intimes en faisant un bruit obscène, continua à flatter mon clitoris que je sentais complètement sorti de sa gaine puis, sans que je puisse esquisser le moindre geste, il posa ses lèvres pour l’aspirer goulûment. Au moment même où je sentais ses lèvres m’aspirer et sa langue me flatter, j’explosais dans un puissant orgasme en laissant s’échapper de ma gorge un cri de bête blessée. À peine dix minutes s’étaient écoulées depuis le début de l’examen. Je me retrouvais les bras ballants, les jambes pantelantes, secouées de longs spasmes incontrôlés, alors que mon médecin, la bouche soudée à mon entrejambe, était en train de boire les fruits de ma jouissance. Épuisée, je ne réagis pas lorsque je le vis se relever en s’essuyant négligemment la bouche du revers de la main et écarter sa blouse pour laisser apparaître une queue raide comme du bois, dressée fièrement contre son ventre. Surprise, je réalisais qu’il s’était débarrassé de son ...