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De délicieuses vacances (partie 1)
Datte: 07/12/2020, Catégories: Partouze / Groupe
... d’aller aussi vite que moi, et de baiser la Blonde aussi bien que je baisais Katherine. Je décidai d’accélérer encore le rythme, allant trop vite pour le pauvre allemand, qui dut se contenter de baiser sa belle bien moins rapidement. Je culbutais Katherine avec sauvagerie, et la sentais toujours plus proche de l’orgasme, son corps se cambrait, ses gémissements devenaient de plus en plus incontrôlés, tandis que le rythme de mes coups de reins s’intensifiaient toujours plus. Lorsque je me mis à lui titiller le clito, elle fut pris d’un puissant spasme de plaisir, j’accélérai alors le rythme dans un dernier sprint final, la faisant exploser dans un merveilleux orgasme, qui la laissa effondrée sur le sable, enfin repue. Elle était bien la seule à être rassasiée : je bandais toujours très fort, quant à Hans et la Blonde, ils baisaient encore tous les deux. Katherine leur dit quelque chose en allemand et en suédois, avant de me lancer « prends moi en cuillère mon grand, tu vas voir ça va être géant ». Je ne voyais pas trop ce qu’une cuillère avait de géant, même si c’était une position plus qu’appréciable, mais je m’exécutai. Elle était allongée sur le côté, et je vins derrière elle pour la prendre. C’est alors que Hans et la Suédoise interrompirent leur levrette, et que la Blonde vint se mettre allongée sur le côté devant Katherine, tandis que Hans vint derrière elle. Les deux belles se collèrent l’une à l’autre, et s’embrassèrent à pleine bouche avec férocité. Dopés par cette ...
... vision de rêve, Hans et moi nous mîmes à baiser chacun sa belle avec passion. Je me collai dans le dos de Katherine, et lui dévorai la nuque, tout en l’observant embrasser la belle Suédoise avec passion. Quand elles ne s’embrassaient pas à à pleine bouche, l’une léchait le buste ou la poitrine de l’autre. Plus d’une fois Katherine mordit le menton de la Suédoise, qui elle même lui griffait le dos. Assister à ça tout en baisant l’une de ces deux magnifiques créatures, était une véritable épreuve pour Hans et moi. Il ne fallut pas dix minutes à l’allemand pour craquer, et avoir un puissant orgasme qui le fit crier. Quant à moi, je continuai à besogner Katherine, qui s’occupait de la Suédoise avec plus d’entrain, comme Hans ne pouvait plus la faire jouir. La Blonde se retourna, tournant le dos à Katherine pour que celle-ci puisse plus facilement lui masser les seins et la doigter. La nordique se mit à pousser des gémissements aigus, qui m’excitèrent au plus haut point, si bien que j’accélérai le rythme de ma baise, limant Katherine avec plus d’entrain, la faisant gémir elle aussi. Tout était trop bon, trop intense : il arriva ce qui devait arriver, nous explosâmes tous les trois en même temps dans un magnifique orgasme qui me donna l’impression que je tombais inconscient. Nous restâmes un moment étendus sur le sable. Il me fallut quelques minutes pour me rendre compte que je bandais toujours. Katherine s’en rendit compte elle aussi. « Oh, mais que vois-je ? Une bite qui s’offre à ...