Une voisine solitaire
Datte: 07/12/2020,
Catégories:
fh,
fagée,
voisins,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
fsodo,
hgode,
attache,
Nous sommes simplement voisins. C’est une très grande femme qui dépasse le mètre quatre-vingt. Elle n’est plus de première jeunesse et est depuis quelques mois à la retraite. Je ne sais pas ce qu’elle fait de ses journées. Elle doit un peu s’ennuyer. Nous discutons de temps en temps dans la cage d’escalier, de choses banales, il est vrai. Elle est originaire de Belgique, de Belgique flamande, c’est l’explication de cet accent un peu bizarre. Depuis quelques semaines, je suis célibataire. Mon ex m’a quitté, elle voulait un môme, je voulais conserver ma tranquillité ; je ne suis pas fait pour fonder famille. Depuis, j’en profite pour faire un break, un peu de solitude ne fait de mal à personne. L’autre soir, je rencontre Greta devant la porte de l’immeuble. Elle n’est pas dans son état normal. Elle semble un peu ivre et s’exprime de façon assez hachée. Je comprends qu’elle revient du café qui est au coin de la rue. Ces temps-ci, elle fréquente l’endroit de façon très assidue. Comme elle trébuche dans l’escalier, je lui propose de la raccompagner jusqu’à sa porte. En fait d’être ivre, elle est complètement pétée. Elle boit pour oublier, pour oublier qu’elle est vieille, pour oublier qu’elle est seule, pour oublier que le monde ne l’a pas gâtée. J’essaie de la soutenir mais, mine de rien, elle est sacrément lourde et ne tient pas sur ses cannes. Comment peut-on se mettre dans un état pareil ? Arrivés en face de sa porte, nous nous mettons en quête de sa clef. Maladroite dans ...
... ses gestes, elle renverse la moitié du contenu de son sac à main sur le paillasson. Je l’aide à ramasser, et je tombe négligemment sur une boîte de préservatifs. Ainsi, elle a encore une sexualité ! Nous sommes enfin dans son appartement. Elle s’affale de tout son long sur le canapé. Je compte bien la laisser ainsi, mais elle s’accroche à mon cou. Elle me vole même un baiser : — Oh, j’ai envie, j’ai envie ! m’avoue-t-elle. Je la sens désespérée, elle s’accroche à moi comme à une dernière chance. J’essaie de la calmer, mais de nouveau elle insiste pour que je lui roule une pelle. Son haleine sent l’alcool : — J’ai envie de baiser ! clame-t-elle avec hargne. C’est presque une supplique, elle me presse le sexe avec fièvre pour m’obliger à bander, mais je suis tout mou car je n’ai pas spécialement envie d’elle. Qu’importe, elle veut que je reste, que je la caresse, que je l’embrasse. Comme je me dégage et suis sur le point de m’en aller, elle remonte sa jupe, écarte sa culotte et se met à se caresser. Sa chatte est broussailleuse. Je la regarde un long moment. — Elle n’est pas belle, cette moule ? Elle a dit ça avec vulgarité, on aurait dit une marchande de poissons. Elle me regarde droit dans les yeux, elle s’enfonce même un doigt dans l’anus comme pour me provoquer. Si la femme n’est pas vraiment attirante, sa perversité m’excite, et elle semble toute disposée à m’offrir toute son intimité. Elle se gratte le clito en gémissant, ses yeux sont vitreux et pleins d’envie. — Allez, ...