Ma nouvelle école (3)
Datte: 08/12/2020,
Catégories:
Transexuels
... postérieur. Je sentais maintenant son sexe dans ma raie, je l’aidais à trouver l’entrée et dès qu’il pût, il me pénétra, assez violemment il alla au fond de moi, j’avais maintenant son sexe entièrement en moi, il se pencha et m’embrassa ce qui eut pour effet de sentir son sexe encore plus profondément en moi et mon sexe coula immédiatement, mon sexe avait joui au simple contact de son sexe en moi. Il commença à me pilonner doucement puis de plus en plus vite, mon corps tout entier était en feu, je gémissais de plus en plus fort, nos corps en sueur vibraient à l’unisson, quand il se contracta, je criais de plaisir, sa liqueur coula en moi et il s’écroula sur moi. Nos bouches jointes, nous tentions de reprendre nos esprits et notre souffle. Je venais d’avoir un orgasme fulgurant. J’étais aux anges, mon cœur battait la chamade dans ma poitrine. Son sexe qui reprenait sa taille normale sortait peu à peu de mon anus. Aussitôt, sa liqueur prit le même chemin. Je le basculais et me précipitait aux toilettes. Cet intermède me permit de reprendre mes esprits et de prendre conscience que je venais de faire l’amour avec mon meilleur ami, que j’avais adoré le sentir en moi, cette chaleur, cette fièvre plus forte que la première fois. Donc Antoine m’aimait depuis longtemps en cachette. Je pris conscience à cet instant que si on était si proche, c’est que l’on devait ressentir la même chose sinon nous n’aurions jamais été aussi en phase ce soir. Il vint taper à la porte. — Tu vas bien ? — ...
... Oui j’arrive — Sure — Deux minutes stp — Ok Quand je sortis, on se retrouva dans le salon, il nous avait servi un verre frais et il se leva pour m’embrasser. — J’espère que tu as aimé autant que moi ? — Oui beaucoup — Je ne regrette pas d’avoir dû attendre aussi longtemps. — Pourquoi tu ne m’en as pas parlé avant ? — Je n’ai pas osé et puis vu comment tu étais avant, toujours speed, à faire des conneries, je ne savais pas si tu éprouverais les mêmes choses. — Je pense que j’aurais rigolé mais maintenant je sais que beaucoup de choses sur mon attitude étaient dues au fait que je n’étais pas moi-même. Maintenant je sais qui je suis et je viens de me rendre compte que moi aussi je suis amoureuse de toi depuis longtemps, que notre complicité était de l’amour. — Oui je t’aime, et Vanessa m’a donné le courage de venir te voir ce soir. — C’est ça dont vous parliez tout à l’heure et que vous avez stoppé quand je suis sortie de la cabine. — Oui, si j’avais osé, je t’aurais sauté dessus quand tu es sortie de la cabine avec ta robe moulante qui dessinait tes petits seins. Vanessa m’a dit que tu me matais aussi. — Un peu mais je ne pensais pas au sexe. — Moi si Nous partîmes à rire quand quelqu’un sonna à la porte. — T’inquiète c’est Vaness. — Elle vient faire quoi ? — Elle est curieuse c’est tout quand elle a su que je t’emmenais chez moi elle a voulu savoir allait se passer. Je lui ai raconté qu’on s’était embrassé et puis que ça avait continué. Nouveau coup de sonnette accompagnée de ...